a red emergency sign lit up in the dark

Credits image : Jake Espedido / Unsplash

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Hyper Urgent : l’IA répond… à l’appel !

« Un jour, j’ai appelé le 17 pour signaler mon chat coincé derrière le frigo, mais apparemment, il y a des urgences plus importantes… » Voilà le genre d’appel farfelu qui encombre les lignes d’urgence. Et c’est exactement ce que Ben Sanders, auto-proclamé ancien enfant en uniforme et futur héros technologique, veut changer avec sa startup Hyper – nouvellement sortie de l’ombre (oui, comme Batman, mais en version IA).

Mais commençons par le début : Ben, assoiffé d’aventure dès son plus jeune âge (et surexploité par sa propre maman-couturière pour transformer des jogging en uniforme policier), a fusionné sa passion pour la sécurité publique avec un attrait certain pour l’innovation technologique. Après avoir joué au flic dans le salon familial, plus grand, il s’essaie à la politique, puis se lance dans la restauration rapide… mais côté IA (RIP, vos commandes Drive mystérieusement erronées).

Tout bascule le jour où Ben lit un article sur l’utilisation de l’IA pour réduire les délais d’attente des services d’urgence. Eureka ! Avec son complice Damian McCabe, il décide de s’attaquer à ce fléau silencieux : la majorité des appels au 911… ne sont pas des urgences. Oui, la réalité est parfois encore plus déprimante qu’un dimanche sous la pluie : les opérateurs passent plus de temps à écouter des histoires de chiens bruyants qu’à sauver des vies.

Hyper veut séparer les vraies urgences des fausses alarmes, pour que chaque seconde compte vraiment là où ça sauve des vies.

C’est là qu’Hyper entre en scène, telle une cape d’invisibilité pour les opérateurs surmenés. Leur assistant vocal IA répond aux appels non-urgents, envoie des liens par texto, rédige les plaintes de voisinage (adieu, chien du 3e!) et, si la situation paraît sérieuse, transfère illico à un humain en chair et en boucle d’oreilles. Pour Ben, c’est une question de vie ou de mort : que le 911 puisse répondre en priorité aux vraies urgences – pas aux plaintes sur le potager envahissant du voisin.

Côté coulisses : pour lever leurs 6,3 millions de dollars, Ben avoue avoir traversé un marathon « frénétique, maniaque et rapide ». À croire que même les investisseurs voulaient mettre la main sur la solution (ou alors, ils avaient eux-même trop de voisins bruyants). Hyper vise désormais une expansion à l’échelle nationale, une intégration profonde avec les systèmes existants et la création de nouveaux produits innovants.

Ce qui distingue Hyper de la concurrence ? D’abord, son focus exclusif sur les appels au 911, là où d’autres s’éparpillent, et l’entraînement sur des vrais appels, avec de vrais opérateurs, dans une ribambelle de langues. La start-up a déjà convaincu plusieurs centres de l’adopter — un exploit, tant les services publics sont parfois plus lents qu’un lundi matin sans café.

Au final, Hyper veut libérer les opérateurs, réduire le stress, et pourquoi pas, redonner l’envie à de nouveaux talents de rejoindre la profession. Ben résume : « Je ne sais pas si je tiendrais dans la vraie salle des urgences, mais au moins, j’ai bâti une IA qui, elle, ne raccroche jamais ! » Alors, la prochaine fois que vous hésitez à appeler pour un hérisson coincé dans la gouttière… dîtes-vous que quelqu’un (ou plutôt une IA) est là pour filtrer les bobos des vrais bobines… d’ambulances.

Reste à savoir si Hyper saura répondre à l’appel — sans jamais vous laisser en plan : « Allô, Hyper ? Ici la galère… » (Oui, parfois l’IA décroche même avant la sonnerie !)

Source : Techcrunch

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