« Un iPad sans multitâche, c’est comme une pizza sans fromage : ça dépanne, mais il manque le meilleur. » Et ça tombe bien, parce qu’avec iPadOS 26, Apple décide de remettre une grosse couche de mozzarella sur sa tablette vedette ! Après des années à danser la samba entre simplicité tactile et prétention d’ordinateur de bureau, l’iPad tente enfin de transformer l’essai… sans se prendre les doigts dans la fenêtre.
Depuis que Stage Manager avait débarqué sur iPadOS 16, les utilisateurs férus de productivité criaient à la révolution… puis râlaient sur les bugs et la rigidité du système. Certains ont même hurlé : « Mettez-moi macOS ou rien ! » Mais cette fois, Apple fait un grand écart inédit : bienvenue aux contrôles en « feu tricolore » façon Mac, barre de menus, et gestion des fenêtres vraiment dignes de ce nom. C’est presque un Mac, mais sans la pomme croquée au centre de l’écran (il ne manquerait plus que ça).
Rassurez-vous, amateurs de béta. Oui, cette nouvelle mouture d’iPadOS se montre stable, mais elle est parfois aussi capricieuse qu’un chat devant un tapis neuf. Plantages d’applis tiers, menus pas toujours cohérents… Bref, tester la bêta, c’est accepter d’essuyer quelques tempêtes numériques. Mais la version finale arrive bientôt, patience (ou courage, à vous de voir !). Si vous tenez vraiment à l’essayer maintenant, pensez à sauvegarder vos précieuses photos de chatons.
iPadOS 26, c’est l’équilibre entre la tablette douillette et le mini-PC sans prise de tête… enfin presque !
Entrons dans le cœur du sujet : le multitâche. Désormais, c’est à vous de trancher : autoriser le multitâche (adieu l’ancien split-screen plan-plan) ou tout garder en plein écran. Plus d’entre-deux compliqué, c’est multitâche ou rien – un mode fort à propos pour éviter de bousculer l’utilisateur lambda, tout en ravissant les adeptes du « je veux tout faire en même temps ! ». Et si on active le multitâche, ouvrons le bal : la fenêtre se redimensionne du bout du doigt, glisse où on veut, et hop, on ajoute des applis en les empilant. On se rapproche franchement du Mac sans le clavier mécanique (et sans les miettes dedans).
Petit plaisir coupable de journaliste tech : ouvrir neuf fenêtres d’applis à la fois… et s’y retrouver ! Balayage vers le haut pour tout voir d’un coup, Command + Tab pour naviguer, et l’appli minimisée retrouve exactement sa place à la réouverture. Plus besoin de jouer à cache-cache avec vos apps, fini le casse-tête chinois. Les nouvelles commandes façon feux de signalisation pour fermer, minimiser ou passer en plein écran rendent le tout bien plus fluide. Même sur un petit iPad mini, la gestion des fenêtres ne donne plus envie de s’arracher les cheveux.
L’autre star de cette édition, c’est la « Liquid Glass » : certains voyaient déjà revenir Windows Vista par la fenêtre (merci pour l’angoisse), mais pas de panique, Apple reste dans la nuance. Les fans du look épuré peuvent tout personnaliser, ou garder leurs icônes d’origine. Le changement est surtout cosmétique, avec des effets de transparence élégants et modernisés — et si vous râlez assez fort sur la bêta, Apple réajuste ses Glaces Liquides. Magie de la communauté !
Côté pratiques, l’app Fichiers se bonifie façon Finder : dossiers épinglés dans le Dock, colonnes redimensionnables, couleurs et émojis à gogo, et choix de l’appli par défaut pour chaque type de fichier (le bonheur des maniaques de la photo). On note enfin l’arrivée de l’appli “Téléphone” (bye bye FaceTime tout-en-un), de nouveaux outils anti-spam dans Messages, et de menues touches comme les fonds dans les conversations… de quoi rendre chaque message plus fun – ou plus supportable, quand il s’agit d’un code à six chiffres.
Bref, entre ces nouveautés puissantes mais pas écrasantes, iPadOS 26 transforme la tablette en vraie centrale de productivité sans perdre sa simplicité. Fini de jongler avec les compromis : l’iPad devient, pour la première fois, le roi de la scène… sans jamais sortir de son dock ! On peut déjà l’affirmer : iPadOS 26 envoie du lourd côté multitâche. Attention tout de même à ne pas finir avec… une « tablette indigeste ».
Source : Engadget
