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Credits image : Privecstasy / Unsplash

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Surfshark : Quand le VPN se jette à l’eau (et sur toutes les plateformes)

« Surfer sur la vague, c’est cool, mais surfer sur la toile en toute sécurité, c’est Surfshark ! » Voilà une punchline digne des plus grands surfeurs (de web, bien sûr). Depuis 2018, Surfshark est passé du statut de petit poisson dans l’océan des VPN à celui de requin séduisant de la cybersécurité. En quelques années seulement, il s’est imposé dans pas moins de 100 pays… À ce rythme-là, il va bientôt demander un siège à l’ONU !

Surfshark séduit d’abord par ses allures d’appli simple, colorée et intuitive – terriblement « user-friendly » pour les novices, même si les pros des VPN risquent de tiquer face aux dizaines de pop-ups (promis, il y a plus de fenêtres que sur le web d’avant les bloqueurs de pubs). L’installation, peu importe l’appareil ou le système d’exploitation, est un jeu d’enfant : Windows, Mac, Android, iOS… à croire que Surfshark veut nager sur tous les écrans !

Côté vitesse, c’est le turbo des VPN : en téléchargement, la chute n’est que de 5,4 % en moyenne, un record dans le genre. Les joueurs et binge-watchers n’auront plus d’excuses pour laguer ou voir la petite roue tourner. Petit bémol sur la latence (surtout quand on voyage virtuellement à l’autre bout du monde), mais honnêtement, qui n’a jamais rêvé d’avoir Netflix Japon en claquant des doigts ?

Le requin du VPN nage vite, bloque les pubs… mais a parfois la mâchoire un peu serrée sur le prix mensuel !

Car oui, on a le droit ici à un vrai festival de fonctionnalités : anti-virus, navigation anonyme, moteur de recherche privé, protection contre les fuites IP, kill switch qui en fait plus (Everlink), rotation permanente d’adresse IP (Nexus), split tunneling modulable, et, cerise sur le gâteau, un client de suppression automatique de vos traces chez les data brokers (Incogni). Cerise sur le cookie : le bloqueur de publicités permet même de refuser les cookies inutiles… Si seulement on pouvait l’activer dans la vraie vie pendant le goûter.

Niveau confidentialité, pas de poisson-pilote à l’horizon : politique très claire, serveurs en RAM (donc pas de stockage de vos aventures numériques), audit externe en 2025, et respect du RGPD. Seul petit requin-pépin : certaines données analytiques transitent par des tiers, mais rien susceptible de vous démasquer… sauf si vous titillez la limite des connexions simultanées illimitées : à trop vouloir être partout, Surfshark peut vous rappeler à l’ordre.

Mais tout n’est pas rose dans l’océan du VPN. Le tarif mensuel est plutôt salé, loin du « petit prix sympathique » des débuts. En revanche, sur les longues durées, voir un coût de 53,73 dollars pour 27 mois fait tout de suite oublier la facture ! Les fonctionnalités sont loin d’être gadgets, mais attention à bien lire les conditions avant de plonger tête baissée.

Finalement, Surfshark s’impose comme le dauphin des débutants et l’orque curieuse des passionnés de cybersécurité : simple, rapide, plein d’idées, mais parfois un peu fougueux sur la communication (et le prix !).

Vous l’aurez compris, avec Surfshark, si la vague de la sécurité sur internet en devient presque fun, c’est que le surf est bien gardé. Après tout, pour naviguer incognito, autant avoir le requin qu’il faut dans son sillage !

Source : Engadget

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