« Plier n’est pas jouer, mais quand un smartphone se plie aussi bien, c’est forcément l’effet wow garanti ! »
Chez Samsung, l’innovation foldable a toujours été une affaire de patience et de persévérance. Après six rounds du Galaxy Z Fold, la septième version semble avoir ingurgité une potion magique façon Dragon Ball pour sortir plus fine, plus légère, plus costaud — mais sans la coupe Mulet. Le Galaxy Z Fold 7 débarque comme un ninja silencieux : aussi svelte qu’un smartphone traditionnel… jusqu’à ce qu’il s’ouvre et libère un écran géant de 8 pouces pour taper à coups de contenu vos soirées Netflix et jeux mobiles. Tout cela a cependant un prix, et pas des moindres : 2 000 €. Oui, c’est le prix de 250 sandwichs grec ou d’un petit week-end à New York (hors inflation sur les donuts). Mais pour les fans fortunés de gadgets pliables, Samsung tutoie ici la perfection.
Il faut dire que ce Fold 7 ne fait aucun compromis pour sa cure minceur. Avec 215 grammes à la pesée, soit 10 % de moins que son aîné, et une épaisseur rabattue de seulement 8,9 mm (26 % plus fin !), il a troqué le look « brique » pour une authentique vibe flagship. Son nouveau FlexHinge en titane glisse comme du beurre, la résistance à l’eau/dust IP48 est au rendez-vous, et la star du show reste ce verre ultrafin — désormais 50 % plus épais. De quoi résister à 500 000 pliages ! Bref, il pourra survivre à toutes vos démos lors des dîners de famille, entre un tour de magie avec serviette et une blague sur les smartphones qui se « cassent » la figure.
Le plus surprenant ? On voit que Samsung n’a pas seulement misé sur l’emballage : l’écran couvre désormais 8 pouces, et la caméra frontale fait un come-back (exit le mini capteur caché) pour des selfies on fleek. Côté design, seule bizarrerie : l’ouverture s’arrête parfois à 179°, comme une porte restée coincée par un chat paresseux. Mais pour être honnête, on l’oublie vite pendant l’utilisation quotidienne.
Les apparences sont parfois trompeuses : le Z Fold 7 cache bien plus qu’un simple écran pliant, c’est presque une leçon de fun et d’audace technologique.
À l’extérieur, fini l’effet « bâton de majorette » : la dalle frontale grossit à 6,5 pouces et devient franchement plus large avec des bords affinés. Les deux écrans partagent une fluidité à 120 Hz et 2 600 nits, et la concurrence (coucou Pixel 9 Pro Fold) peine à égaler le piqué, la saturation et la luminosité de la bête coréenne. Seul coup de théâtre : Samsung zappe le support du S Pen, arguant que personne ne s’en servait. Dommage pour les fans de gribouillage, mais c’est le prix de la diète !
En performance, le smartphone a le syndrome « fast & furious » : Snapdragon 8 Elite, jusqu’à 16 Go de RAM, 1 To de stockage et Android 16 maison (OneUI 8), ça déménage ! Même les jeux les plus gourmands se chargent en un clin d’œil — il met 5 secondes dans la vue du Pixel 9 Pro Fold sur les jeux, soit 25 % de rapidité en plus (et quand on veut sauver le royaume entre nos cours, ça compte !).
Côté photo, la grosse évolution c’est le capteur principal 200MP, hérité du S25 Ultra : des clichés plus nets, plus colorés, surtout avec la fameuse « touche chaude » made in Samsung même la nuit. Le zoom optique 3x est un peu court face au 5x du Pixel 9 Pro Fold, mais pour les selfies de groupe, on apprécie le nouvel objectif 100° qui élargit la perspective (et le nombre d’amis à caser sur la photo !).
En résumé, ce Galaxy Z Fold 7 est une véritable gymnastique technologique : toujours aussi cher, mais plus musclé, plus joli et franchement redoutable. Si dans le passé, les téléphones à clapet étaient ringards, Samsung prouve aujourd’hui qu’avec assez d’audace, plier peut vraiment rimer avec plaisir… et innovation à grand écran. Et maintenant, pliez bien vos portefeuilles : avec ce Fold, la seule chose qui ne se replie pas, c’est le prix !
Source : Engadget




