white and blue airliner parked on port

Credits image : Eduardo Cano Photo Co. / Unsplash

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Un vol d’oiseau entre bons plans et coups de pression

« Pourquoi chercher midi à quatorze heures quand Google peut le faire pour vous ? » Voilà la question existentielle qui secoue les voyageurs modernes… et soulève un vent de panique chez les comparateurs de vols !

Google, ce bon vieux compagnon de nos recherches les plus farfelues, vient de lancer Flight Deals, un nouvel outil boosté à l’IA, spécialement conçu pour les chasseurs de bons plans aériens. L’idée ? Poser vos envies de vacances sans vous soucier de trouver le mot-clé parfait — l’IA s’occupe de tout et déniche les offres alléchantes, qu’il s’agisse d’une virée gastronomique en hiver ou d’une escapade de dix jours pour dévaler les pistes enneigées à prix (presque) givrés !

Comment ça marche, vous demandez-vous ? Google s’appuie sur Gemini 2.5, son savant mélange d’intelligences artificielles qui assemble les prix en temps réel des compagnies aériennes… et comprend enfin que « partir tout schuss » n’est pas une requête anodine. Flight Deals classe ses résultats selon les économies potentielles : plus c’est rentable, plus c’est mis en avant. Et s’il n’y a pas de remise, alors c’est l’option la moins chère qui rafle la mise — logique au pays des bons plans, non ?

L’IA devient le pilote automatique de vos envies… mais gare aux turbulences réglementaires !

Oui, tout n’est pas si simple du côté des gratte-papiers à Bruxelles. Les régulateurs européens, jamais très fans du monopole à la sauce californienne, suspectent Google d’avantager (surprise !) ses propres services, au détriment d’une concurrence déjà turbulente. L’ombre du Digital Markets Act plane, et Google prépare déjà ses contre-mesures, comme introduire un « comparateur de prix » pour éviter de se faire taper sur les doigts. Bref, l’algorithme est lancé, mais la partie de poker réglementaire vient à peine de commencer.

Pour l’instant, Flight Deals débarque en mode bêta aux États-Unis, au Canada et en Inde. Ambiance « on teste, on ajuste, promis, on vous écoute ». Pour ceux qui s’inquiètent de leur vie privée, sachez qu’il suffit d’un tour sur MyActivity pour gérer ou effacer votre historique de recherches (oui, même ce « vol last-minute pour Tahiti un lundi matin »).

Google ne fait cependant que rattraper la concurrence, car Booking.com, Expedia ou MakeMyTrip ont déjà sorti leurs atouts IA pour attirer les globe-trotteurs. L’avantage de Google ? Son immense réservoir d’utilisateurs et sa puissance de frappe : si Flight Deals convainc, la domination s’approchera peut-être de la vitesse supersonique.

Mais pas de panique : le bon vieux Google Flights reste au poste, avec en prime une nouvelle option pour filtrer les vols U.S. ou canadiens selon la classe (adieu les sièges qui ne s’inclinent pas !). Reste à voir si ce nouveau copilote IA saura vraiment éviter les escales… de la concurrence.

En résumé, Google tente un atterrissage réussi dans la jungle du voyage numérique. Mais entre l’IA, les promos… et les gendarmes européens qui veillent, on peut dire que ça fly… ou ça crash !

Source : Techcrunch

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