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Credits image : Boitumelo / Unsplash

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API-ritif chez Google : Jules s’invite à la ligne !

« Un bon dev ne code jamais seul… surtout quand une IA fait la moitié du boulot ! » Voilà une maxime qui pourrait bien devenir la devise des programmeurs du futur, tant l’intelligence artificielle s’immisce de plus en plus dans le quotidien des codeurs. Aujourd’hui, c’est Google qui joue les chefs d’orchestre en poussant son agent de codage, Jules, tambour battant dans l’écosystème des développeurs.

Jusqu’alors, Jules ressemblait à ce collègue sympa qu’on ne croise qu’à la cafétéria… accessible uniquement sur le site web ou via GitHub. Mais, plot twist ! Google vient de lâcher Jules Tools, un outil en ligne de commande qui s’invite directement dans le terminal des développeurs. Plus besoin de jongler entre 43 fenêtres ouvertes ou de prier Saint Ctrl+Tab ! Désormais, Jules exécute les tâches de codage dans le “cocon” des devs et valide, hop, sans quitter leur tablier numérique.

Loin d’être une simple déclinaison du fameux Gemini CLI de Google, Jules Tools vise des tâches bien précises (le genre de missions qu’on refourgue normalement au stagiaire). Selon Kathy Korevec, boss produit chez Google Labs, Gemini CLI, c’est pour les échanges façon brainstorming, tandis que Jules, lui, préfère agir en solo, avec seulement un clin d’œil d’approbation avant de partir à l’aventure algorithmique.

Jules n’est donc pas seulement un agent AI, c’est le coéquipier discret qui débarque au bon moment pour éviter le bug existentiel… tout en restant à sa place.

Mais la magie ne s’arrête pas là. Avec la mise à disposition de l’API publique de Jules, ce compagnon digital picore dans tous les recoins de nos habitudes de travail. Intégration dans Slack, injection directe dans l’IDE préféré (coucou VS Code), bientôt des plug-ins à gogo, bref, il n’a jamais été aussi simple de l’inviter à la fête. Même Google admet bosser sur l’expansion de Jules pour sortir du carcan GitHub, alléluia pour tous ceux qui n’ont jamais compris pourquoi il fallait absolument créer un “repo” pour demander à l’IA de corriger un “if”.

Côté fonctionnalités, Jules muscle son jeu : il garde maintenant en mémoire vos petites habitudes (genre si vous corrigez tout le temps ses boucles “while”), lit les commentaires des pull requests, compare du code visuellement et même… accepte l’envoi d’images. On attend encore qu’il propose le café pendant une compilation, mais on y croit !

Pour les plus anxieux d’entre nous qui redoutent la mainmise de Skynet sur les pull requests, pas de panique, la surveillance reste de rigueur. Si Jules patine dans la semoule sur une tâche, il vous le dit poliment. Parfois, il préfère même laisser l’humain reprendre la commande, notamment sur mobile où, soyons francs, tout notifiait sauf… les notifications.

Après quelques mois d’essais, Jules n’a pas la prétention de transformer votre petit cousin en développeur senior, mais il séduit déjà les programmeurs yakafokon et ceux pour qui coder reste avant tout un plaisir. Sorti de bêta et affiché à des tarifs façon “all you can code” (15 tâches gratuites par jour, puis 19,99$ pour les gourmands et 124,99$ pour les codeurs insomniaques), Jules compte bien devenir l’assistant préféré de tout bon dev qui se respecte.

En résumé, Google continue “d’IA-iser” notre quotidien tech… et si Jules ne vous code pas la vie rêvée, il ne vous la compilera pas non plus !

Source : Techcrunch

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