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Credits image : Team Nocoloco / Unsplash

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Rocket.new, l’application qui ne fait pas dans la demi-mesure !

« Un codeur, un café, et une IA, ça vous fait une application pour le dessert ? » Eh bien, avec Rocket.new, la nouvelle étoile filante de la scène tech indienne, ce trio semble réaliste ! Ils viennent de lever 15 millions de dollars avec, comme chef d’orchestre, Salesforce Ventures. Leur mission ? Faire décoller la création d’applications via de simples instructions textuelles, histoire d’aller plus loin que les prototypes qui font juste « waouh » sur LinkedIn.

Lancée seulement en juin, la plateforme de Rocket.new affiche déjà un CV qui ferait pâlir n’importe quel développeur freelance : 400 000 utilisateurs, dont 10 000 qui paient pour le plaisir d’éviter d’écrire du code, 4,5 millions de dollars de revenus annuels récurrents — et tout ça, avant même de souffler leur première bougie ! L’objectif du cofondateur Vishal Virani, pour l’année prochaine ? Que même Elon Musk ait du mal à suivre au niveau chiffres.

Mais, attention, Rocket.new n’est pas née à Bangalore ou Hyderabad, non non… Direction Surat, la ville des diamants et des textiles (et bientôt peut-être celle de l’IA). Virani et ses coéquipiers ne veulent pas juste résoudre le « problème du premier jour » (le prototype qui brille en démo), mais aussi celui du « jour deux », quand il faut passer de la maquette sympa à l’application vraiment utilisable, scalable, et qui ne pète pas quand le chef appuie sur F5.

Construire une app aujourd’hui, ce n’est plus qu’une question de prompt : la magie de Rocket.new, c’est de transformer les idées en réalités, jour après jour.

Avec l’aide d’IA (OpenAI, Anthropic, Gemini & co), Rocket.new vise à supplanter la corvée du product manager et l’huile de coude du développeur. Leur bot veut tout faire, du benchmark concurrentiel jusqu’à la production, avec la promesse que la prochaine « licorne » sortira peut-être des doigts d’un néophyte du code. Bon, pour l’instant, la version 0.3 de Rocket.new met 25 minutes à générer une app (certes, c’est plus long qu’un p’tit Replit qui sort du four en 3 minutes), mais au moins, ici, la cuisson est complète !

Le public visé ? Aussi hétéroclite qu’un buffet d’entreprise : solopreneurs, product managers, développeurs front. Et les usages sont sérieusement sérieux : 80% des applis créées servent vraiment à quelque chose (e-commerce, fintech, B2B, santé mentale…). Fait amusant : certains utilisateurs commencent sur Lovable ou Replit, puis rapatrient leur projet pour obtenir la version mobile made in Rocket.new.

Côté porte-monnaie, Rocket.new ne fait pas dans le « tout gratuit pour le fun » : la découverte est offerte jusqu’à un million de tokens, puis il faut passer à la caisse (à partir de 25$ par mois). Un choix qui filtre les simples curieux et garantit des marges que même les vendeurs de pierres précieuses à Surat apprécieraient (50-55%, objectif 70%).

Pas étonnant que Rocket.new plaise à de beaux noms (Meta, Paypal, KPMG…), ni que leur croissance soit portée par des tweets viraux et le bouche-à-oreille. Mais la startup ne compte pas s’endormir sur ses lauriers : elle ouvre des bureaux à Palo Alto, muscle sa R&D, et prévoit de doubler sa team d’ingénieurs indiens.

En résumé, on l’aura compris : avec Rocket.new, l’appétit vient en lançant des prompts. La tech indienne prouve encore que les meilleures solutions ne sont pas forcément cousues main à Bangalore… et qu’il n’y a pas que les diamants qui sortent des mines de Surat !

Source : Techcrunch

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