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Periodically Yours: Quand la science fait sa (r)évolution de labo

« On ne fait pas d’omelette sans casser quelques œufs, mais apparemment, pour innover en science, il suffit de mélanger IA et robots !» Voilà un credo tout frais sorti des laboratoires de Periodic Labs, la nouvelle aventure à la frontière de la science et de la tech menée tambour battant par Liam Fedus (ex-gourou chez OpenAI), et son complice Ekin Dogus Cubuk, star de l’IA chez Google Brain. Leur pari : révolutionner la découverte scientifique en intégrant les LLM (modèles de langage géants), des robots dignes des Avengers, et… une pluie d’investissements plus drue qu’un orage en plein juillet.

L’histoire commence il y a sept petits mois (soit un siècle en années de startup) : Cubuk, spécialiste des matériaux et des réseaux neuronaux, et Fedus, cerveau derrière ChatGPT, réalisent que la tech a enfin décoché tous ses voyants au vert. Les robots sont capables de touiller des poudres magiques sans éternuer, les simulations par IA frôlent la prescience, et les modèles de langage raisonnent mieux qu’un jury de prix Nobel. Ni une ni deux, ils décident de fonder une startup qui ambitionne tout simplement de redéfinir la science… ou, au moins, d’en épicer le fonctionnement habituel.

Leur constat : une boucle IA-robot-labo qui permettrait de découvrir des matériaux sans sortir du bureau, pendant que les machines s’occupent de faire, tester et corriger en temps réel. Plus besoin d’une armée de chercheurs pipetant à la main : seule la créativité humaine et la patience d’un robot seraient nécessaires. Et le plus surprenant : même les échecs deviennent précieux, car chaque couac alimente les modèles avec de précieuses données (une véritable fête pour tout passionné de machine learning).

Parfois, la plus grande découverte d’un laboratoire, c’est l’échec qui finit en data gagnante !

Mais ne vous laissez pas berner par les apparences – tout ressemble à une réussite éclaire, mais OpenAI, le géant de l’IA qui a formé Fedus, n’a pas mis un centime dans la boîte. Oups ! Signe des temps, ce sont les investisseurs eux-mêmes qui ont sorti la plume et la boite de chocolats, allant jusqu’à rédiger de véritables lettres d’amour à Periodic Labs (le capital-risque n’a peut-être jamais été aussi romantique). C’est finalement Felicis qui décroche le Graal, après un pitch aussi éprouvant qu’une randonnée dans les collines de San Francisco : il faut savoir transpirer un peu pour décrocher une startup à 300 millions de dollars.

Le recrutement s’accélère, à coup de stars de la physique, d’as de l’IA et de héros du laboratoire : chaque semaine, c’est masterclass et croisement de neurones, dans le but de dénicher de nouveaux matériaux et, qui sait, le next big thing des supraconducteurs (adieu les factures d’électricité salées ?). Le laboratoire brille déjà, prêt à conjuguer IA, expériences scientifiques et robots à gogo. Mais attention : si les machines sont prêtes à danser, il reste encore à les former pour opérer en totale autonomie. Le « grand soir » de la science automatisée, ce n’est jamais aussi simple qu’une équation à une inconnue.

Car la découverte scientifique, même boostée à l’IA, refuse de se plier aux plannings et à la magie des levées de fonds. Malgré les signaux verts, rien ne garantit que Periodic Labs composera la symphonie majeure de l’innovation – même si, vu le casting, le solo mérite l’écoute. Mais au pire, ils repartiront avec une grosse cargaison de données ultra-qualitatives pour entraîner la prochaine génération de modèles, et ce n’est déjà pas si mal.

La tendance fait boule de neige, et même OpenAI songe à ouvrir son propre labo scientifique version 2.0. Quant aux investisseurs, ils rivalisent encore d’offres plus clinquantes les unes que les autres (mention spéciale à la love letter non-retenue, mais très flattée). Le tout pour une aventure où le vrai superpouvoir pourrait bien être… la capacité à transformer chaque raté en pépite d’apprentissage.

Alors, la prochaine révolution scientifique viendra-t-elle d’un robot qui fait la popote, rôdé par des lignes de code et supervisé par une intelligence en surchauffe ? Seules les prochaines expériences nous le diront. Mais une chose est sûre : chez Periodic Labs, on préfère échouer avec brio que réussir par accident, et on ne craint pas de mouiller la blouse… quitte à finir par un « petit électrochoc » dans la science des matériaux ! ⚡️

Source : Techcrunch

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