MacBook Air beside gold-colored study lamp and spiral books

Credits image : Arnel Hasanovic / Unsplash

AstronomieTechnologie
0

Loft Orbital peut-elle déverrouiller l’espace pour les développeurs ?

Le SaaS, ou software-as-a-service, est-il en passe de trouver un nouveau sens avec l’essor des startups spatiales telles que Loft Orbital qui le réinterprète en space infrastructure-as-a-service ?

Comment cette jeune pousse de San Francisco parvient-elle à bousculer le marché en développant une couche d’abstraction entre le bus satellite et les charges utiles, et en offrant aux clients un moyen de se soustraire à la complexité de la gestion matérielle et du réseau au sol ? Est-il pertinent de considérer leur approche comme une forme d’Uberisation de l’espace, où les clients réservent tout simplement leur place à bord d’une infrastructure déjà en orbite ?

Pouvons-nous envisager un futur où les missions spatiales deviennent « virtuelles », à travers une initiative de la société permettant aux clients de déployer leurs applications logicielles sur des satellites Loft pour tirer profit des capteurs et des unités de calcul embarqués, et analyser des données en temps réel ?

Est-ce que Loft Orbital va réellement démocratiser l’accès à l’espace pour les développeurs avec ses missions virtuelles ?

Quelles preuves avons-nous de l’attrait pour ce modèle économique, sachant que Loft a déjà réussi plusieurs missions virtuelles sur son satellite YAM-3, et que la demande pour le déploiement de logiciels IA dans l’espace, en lien avec l’infrastructure cloud sur Terre, est en pleine croissance ?

En quoi la vision du CEO de Loft, Pierre-Damien Vaujour, qui souhaite accélérer la réalisation des missions spatiales et la fourniture d’analyses de données satellitaires, transforme-t-elle l’industrie ? Et comment la simplification du processus de développement d’applications spatiales reflète-t-elle les attentes des développeurs modernes ?

Avec le premier satellite dédié aux missions virtuelles, YAM-6, prévu pour un lancement en février 2024 à bord d’une mission ride-share de SpaceX, comment Loft compte-t-elle satisfaire l’appétit grandissant des clients pour ces services inédits ?

Quels outils Loft Orbital proposera-t-il pour accéder aux missions virtuelles, et quelles seront les capacités disponibles aux développeurs, sachant que certains clients ont déjà pré-réservé 10% des ressources informatiques embarquées sur les prochains satellites virtuels prévus par l’entreprise ? La promesse de déployer de larges constellations dédiées aux missions de clients « virtuels » est-elle réaliste et durable ?

Enfin, quelle est la portée de la déclaration de Vaujour affirmant que « l’espace n’a pas été ouvert aux développeurs » jusqu’à maintenant ? Comment Loft entend-elle modifier le paradigme en autorisant tout développeur à créer et exécuter des logiciels dans l’espace avec les outils utilisés pour le développement d’applications web ?

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.