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Credits image : Maxim Tolchinskiy / Unsplash

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La Grande Évasion d’OpenAI : Quand les cerveaux prennent un AI-rbus

« Un ex d’OpenAI croisé dans une soirée, c’est comme une start-up d’IA à la recherche de fonds… il y en a toujours au moins un ! » L’univers de la tech ne manque jamais d’ironie et depuis l’essor fulgurant d’OpenAI, c’est tout un nouveau chapitre mafieux — disons, « la mafia ChatGPT » — qui se joue en Silicon Valley. Il ne s’agit pas de gangsters à chapeaux et cigares, mais de cerveaux qui désertent le vaisseau OpenAI pour devenir capitaines de leurs propres navires… souvent avant même que le bateau n’ait un nom ou une boussole !

Difficile de blâmer ces rebelles de l’intelligence artificielle : OpenAI a atteint la stratosphère avec une valorisation de 300 milliards de dollars, poussant ses meilleurs éléments à tenter leur propre ascension orbitale. Certaines nouvelles startups, comme Safe Superintelligence (fondée par Ilya Sutskever) ou Thinking Machines Lab (la nouvelle maison de l’ex-CTO Mira Murati), lèvent des milliards avec un business model audacieux : aucun produit, aucune recette, mais un paquet d’ambition et probablement beaucoup de PowerPoints !

Mais le phénomène n’est pas réservé aux têtes d’affiche. Autour du soleil OpenAI, gravitent tout un tas de planètes et de satellites professionnels. Perplexity révolutionne la recherche (tout en s’attirant les foudres des journaux pour plagiat), xAI d’Elon Musk aspire Twitter dans son empire, alors que Living Carbon rêve d’arbres super-écologiques et Prosper Robotics de domestiques robotiques élégamment huilés.

La seule chose plus rapide que l’IA, c’est la capacité des ex-OpenAI à lever des fonds sans même avoir d’algorithme à montrer.

Jetons un œil aux figures de cette “mafia gentille” : les ex-OpenAI ont le don d’attirer le cash comme des chatbots attirent les demandes existentielles. Dario et Daniela Amodei ont monté Anthropic, qui talonne désormais OpenAI au palmarès des valorisations indécentes, mais promet une IA responsable (avec des réunions sur la sécurité aussi fréquentes que les mises à jour de sécurité Windows). Pendant ce temps, Aravind Srinivas fait trembler Google avec Perplexity, qui mixe recherche et controverse comme un DJ de la Silicon Valley.

Il y a aussi l’intrigue, les alliances, les retours surprises : Kyle Kosic a quitté OpenAI pour monter xAI avec Musk, puis… est revenu chez OpenAI. La tech, c’est comme les sitcoms : les personnages sortent, reviennent, et il y a toujours un rebondissement dans le scénario. D’autres, comme Emmett Shear (le “presque-CEO” d’OpenAI) et Andrej Karpathy (star de la vision par ordinateur), lancent des startups secrètes ou des IA éducatives, pendant que des profils plus atypiques, type Maddie Hall, préfèrent faire pousser des arbres mutantes contre le réchauffement climatique.

Mais attention à ne pas se faire d’illusions : partir d’OpenAI n’ouvre pas nécessairement toutes les portes. Plusieurs de ces startups n’ont ni produit fini ni revenus, et semblent plus motivées par la promesse que par les démonstrations concrètes. Les investisseurs, eux, misent parfois sur du vent — mais dans la Silicon Valley, ce vent peut gonfler les voiles d’un navire à vitesse grand V… ou se transformer en tempête de questions existentielles en moins de temps qu’il n’en faut à ChatGPT pour deviner votre gâteau préféré.

Alexandre Dumas disait « on ne quitte que ce qu’on possède », mais chez OpenAI, on dirait plutôt qu’on quitte pour essayer de posséder le futur… et le portefeuille des investisseurs. Reste à savoir si le prochain mafieux de la tech sera le parrain d’une IA super-intelligente ou juste d’un buzz éphémère. Mais une chose est sûre : chez OpenAI, le plus dur, ce n’est pas de partir… c’est d’arriver à coder une idée originale qui fait vraiment la différence !

Source : Techcrunch

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