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Credits image : NASA / Unsplash

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La course martienne : Elon n’a pas fini de voir rouge !

« Vise toujours la Lune. Même si tu la manques, tu atteindras peut-être Mars… ou au moins quelques robots qui s’y baladent ! »

Elon Musk, le fantasque patron de SpaceX, n’a visiblement pas envie de lâcher son rêve rouge : débarquer sur Mars avant qu’on ait tous pris notre retraite (ou avant qu’on ait appris à prononcer “multiplanétaire” sans bafouiller). Malgré les dernières explosions façon feu d’artifice de Starship — la fusée préférée de ceux qui ont grandi avec Tintin — l’ambition reste martienne : cap sur Mars à partir de 2026, si les étoiles (et les calendriers de Musk) s’alignent !

L’objectif, vous demandez ? Rien que d’installer une « vraie » cité indépendante, avec assez de monde pour organiser des soirées crêpes ou un tournoi d’échecs interplanétaire. On parle donc, selon Musk, d’un million de Terriens sur Mars d’ici à 2050. Pour l’instant, score : zéro martien, mais pas mal de robots prêts à prendre la pose sur une poutre d’acier, façon photo mythique « Lunch atop a Skyscraper ». Elon promet d’envoyer d’abord ses Optimus robots made in Tesla avant qu’on embarque nous-mêmes les pieds au chaud dans nos combinaisons.

Derrière les crashs de fusées et les rêves grandiloquents, SpaceX avance un pion : prévoir grand… quitte à revoir la date du décollage!

Mais avant de sabrer le champagne lyophilisé sur la planète rouge, il reste un menu détail : ravitailler Starship en orbite terrestre. Ce casse-tête technique, jamais tenté, sera LE passage obligé pour imprimer le billet aller pour Mars. Et quitte à tracer la route, il faudra choisir un bon coin pour atterrir : SpaceX vise Arcadia, une région plutôt sympa (paraît-il) où l’eau gèle sous la poussière mais où personne ne risque de bronzer au bord d’un cratère.

Pour transformer la conquête martienne en navette-bus (plus il y a de monde, moins on paye cher le ticket ?), Musk table sur une usine capable de produire une Starship toutes les deux à trois semaines, bientôt appuyée par une « Giga Bay » supplémentaire. Il rêve même d’aligner jusqu’à 2 000 engins filant à chaque fenêtre de lancement possible, histoire d’installer assez de stocks pour survivre, même si Amazon laisse tomber la livraison prime sur Mars…

Alors, qu’on y croit ou non, difficile de nier que SpaceX sait vendre du rêve — et tourner chaque explosion en cliffhanger haletant. Le rendez-vous est pris : 2026 sur vos calendriers, ou 2028 si la fusée a besoin d’un peu plus d’huile de coude et de duct tape.

En attendant, une certitude : sur Mars, il n’y aura pas que des barres énergétiques… il y aura aussi d’énormes barres (de rire) devant l’audace musquée d’Elon !

Source : Mashable

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