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Credits image : Dhaya Eddine Bentaleb / Unsplash

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En avant la fusion, mais pas trop vite !

« Un rachat, c’est comme un mariage : tout le monde dit “félicitations !”, mais personne ne voit la paperasse… »

Cette semaine, le monde très sérieux des fusions technologiques a encore frappé : ServiceNow, le géant du cloud, espère ajouter une nouvelle corde à son arc d’intelligence artificielle en s’offrant la startup Moveworks pour la modique somme de 2,85 milliards de dollars. Oui, on dirait bien que ce n’est pas Moveworks mais “Bigworks” désormais !

Mais voilà, l’Oncle Sam, enfin le département de la Justice américain, a décidé de jouer les trouble-fête. Parce qu’avant de valider ce rachat bien juteux, il a lancé une enquête antitrust pour s’assurer que ServiceNow ne deviendra pas le boss final de l’IA dans les entreprises. Apparemment, un seul email ne suffisait pas, alors les services de l’État ont envoyé une “seconde demande” d’informations pour éplucher l’affaire jusqu’au dernier octet.

Quand une licorne met un sabot dans le cloud, c’est tout l’écosystème qui éternue.

Souvenez-vous : en mars dernier, ServiceNow avait claironné haut et fort l’arrivée prochaine de Moveworks dans son écurie, promettant une clôture du deal pour la seconde moitié de 2025. Mais avec cette enquête, le calendrier prévu pourrait bien être chamboulé. Les deux entreprises jouent pour l’instant la carte du silence radio ; à croire qu’elles ont mis leurs communicants en mode avion.

Il faut dire que la fusion a de quoi attirer les radars : Moveworks n’est pas la première IA venue, elle brille par ses solutions d’automatisation et d’assistance dans les grandes boîtes. ServiceNow, lui, rêve de renforcer son trône sur le royaume de l’automatisation, où chaque bot compte — mais la justice américaine veut savoir si cette alliance ne va pas transformer le marché en plaine désertique pour les autres concurrents.

Pour l’instant, le suspense reste total : ni Moveworks ni ServiceNow ne souhaitent commenter, peut-être trop occupés à remplir les formulaires de la “seconde demande” (ou alors, ce sont des experts, ils ont automatisé cette tâche ?). Une chose est sûre : tant que la lumière verte du département de la Justice ne s’est pas allumée, l’intégration de leurs IA attendra.

En résumé, si ServiceNow veut mettre la main sur Moveworks, il va d’abord devoir prouver que l’amour du cloud ne tue pas la concurrence. La suite au prochain épisode… ou à la prochaine notification réglementaire !

Bon, pour l’instant, ServiceNow devra patienter… car dans ce dossier, l’IA n’a pas encore dit son dernier « mot-clé ».

Source : Techcrunch

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