Two BMW m4 sports cars side by side.

Credits image : Thinh Do / Unsplash

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Les Américains ont la frite : chronique d’une année à croquer dans la guerre des semi-conducteurs

« Dans le monde des semi-conducteurs, il n’y a que deux certitudes : l’incertitude continue… et le fait que quelqu’un, quelque part, attend toujours une puce. »

2025 semblait bien partie pour être une année rayonnante pour les semi-conducteurs américains. Mais entre coups de théâtre dignes de séries Netflix, changements de direction à la vitesse du core i9, et tensions géopolitiques relevées comme une sauce barbecue texane, pas de quoi s’ennuyer ! On a eu du nouveau côté Intel, des batailles de puces entre Biden et Trump, des alliances dignes de Game of Thrones, et même des histoires de chips planqués sous des lobsters (oui, on parle bien d’électronique, pas d’en-cas au paprika !)

Côté Intel, c’est le feuilleton du renouveau qui a démarré avec l’arrivée de Lip-Bu Tan à la barre. À peine nommé, il entreprend un relooking d’entreprise version « project runway »: licenciements massifs, nouvelles têtes flashy pour l’ingénierie, et vente de divisions jugées moins sexy (bye-bye les unités télécoms, bonjour les circuits sur-mesure). Pendant ce temps, le chantier à Ohio accuse le même retard que votre TGV d’un lundi matin : la fameuse usine ne sortira peut-être de terre qu’en 2031… patience, les amis, d’ici là, la mode sera peut-être aux circuits tricotés main !

La guerre des puces, c’est un peu « Exporter ou pas exporter », telle est la question… et la réponse change chaque mois !

Mais Intel, ce n’est qu’une tranche du gratin. Chez Nvidia, entre accusations de chips exportées « en douce dans des poussettes ou entre deux crustacés », revers financiers astronomiques suite aux réglementations et ajustements stratégiques pour le marché chinois, il a fallu jongler comme un robot-circus. Les restrictions made in USA sont parfois annulées à la dernière minute, parfois renforcées à coups de communiqués cinglants : les puces H20 jouent à cache-cache avec la régulation alors qu’AMD, discret mais efficace, fait son marché d’acquisitions dignes d’un Black Friday chez Boulanger.

À l’international, chaque pays protège jalousement ses précieuses électrons : la Malaisie impose désormais des permis d’export, les Émirats font une pause sur leurs emplettes Nvidia, et la Chine, jamais en reste, menace de poursuites ceux qui confondraient export et import. Les Américains, eux, se chamaillent entre sénateurs sur le niveau de contrôle idéal, certains rêvant d’un embargo façon Iron Curtain 2.0 et d’autres plus inspirés par la libre circulation des octets.

Ajoutez à ça la sortie fracassante de DeepSeek, startup chinoise qui a fait trembler la Vallée en libérant un modèle d’IA open source performant. De quoi remettre un jeton dans le flipper de la rivalité américano-chinoise. Quant à la situation politique, entre annonces de restrictions d’export par Biden puis volte-face d’un Trump qui préfère faire ses propres règles, on se demande parfois si l’on ne devrait pas réécrire la Constitution sur une clé USB réinscriptible.

Au fond, ce qui s’impose, c’est une industrie de la puce qui n’a de cesse de rebattre les cartes, entre ambitions technologiques et réglementations façon montagne russe. Une certitude : on n’est jamais à court de rebondissements, ni de jeux de mots pour faire sourire — et tant mieux, parce qu’entre les « chips » légalement croustillantes et les « chips » qui font pleurer Wall Street, le monde des semi-conducteurs reste avant tout une question de… résistance !

Source : Techcrunch

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