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Steppe Up pour la Startup : quand l’Eurasie débarque à San Francisco !

« Si vous pensez que la tech ne pousse qu’à la Silicon Valley, vous n’avez clairement pas vu ce qui sort des steppes ! » Voilà de quoi chambouler vos idées reçues sur l’innovation. Eh bien, accrochez-vous à vos claviers : l’écosystème startup d’Asie centrale et d’Eurasie vient de vivre son moment « Disrupt » avec la plus grande compétition de pitchs jamais organisée dans la région. Imaginez, 485 candidatures de 27 pays différents ! De l’Arménie à l’Ouzbékistan, en passant par l’Inde et même le Mexique (oui, il y avait aussi du taco dans la tech), tout le monde voulait participer à la « Road to Battlefield » : le goudron express pour accéder à la scène prestigieuse du Startup Battlefield de TechCrunch à San Francisco.

Ce n’est pas juste une autre compète de startups montée pour occuper vos soirées LinkedIn. Organisée par Silkroad Innovation Hub en partenariat avec TechCrunch et Freedom Holding, cette Road to Battlefield marque un vrai tournant historique. Pour la première fois, les fondateurs de « contrées exotiques » – si, si, c’est encore comme ça qu’on les appelle à San Francisco – jouent dans la même cour que les génies du code américains.

Vous pensiez que les startups d’Eurasie étaient encore à l’étape de l’algorithme sur papier ? Raté. Pendant trois semaines, 380 jeunes pousses ont pitché en ligne, cumulant 32 heures d’idées détonantes ! Avec une diversité à faire pâlir la Silicon Valley – 35% sont fondées par des femmes, et le plus jeune boss n’a que 14 ans (oui, il fait ses devoirs sur Slack). Entre projets à l’idée, MVP, pré-seed, et pre-Series A, il y avait sur scène plus de niveaux qu’à un tournoi d’escalade en Asie centrale.

En quelques semaines, la tech d’Eurasie est passée du mode « incognito » au radar mondial, avec des startups prêtes à secouer la Disrupt de San Francisco !

Mais qui sont les étoiles prêtes à briller à San Francisco ? Roulement de tambour digital : Polygraf AI (Azerbaïdjan/USA), QuickShipper (Géorgie), Surfaice (Kazakhstan/USA) et, cerise sur le baklava, ArtSkin (Kirghizistan/Kazakhstan). Cette dream team donnera de la sueur froide à la Silicon Valley lors du TechCrunch Startup Battlefield 2025 ! Mention spéciale à ArtSkin, choix du jury TechCrunch, pour ses neuro-interfaces qui transmettent la sensation du toucher jusqu’aux robots chirurgicaux et avatars VR. De quoi caresser l’avenir du bout des neurones.

Les autres finalistes n’étaient pas en reste, venus de horizons biotech, fintech, edtech et même « green tech ». Et, nouveauté de cette édition, un juré IA (oui, un robot juge !) baptisé AI-Gerim a arbitré aux côtés d’un panel international composé d’investisseurs, universitaires et autres pontes de la tech. De quoi booster l’aura de l’événement façon Elon Musk sur un trampoline.

Mais ne croyez pas que l’impact s’arrête à un stand d’exposition ou une poignée de mains bien claquées. Cette initiative a déclenché une vague de collaborations transfrontalières inattendues, dévoilant une Eurasie beaucoup plus connectée et ambitieuse que les clichés du bon vieux Far East. Les investisseurs internationaux commencent à lorgner du côté d’Astana ou de Tachkent, preuve que l’innovation n’a pas de longitude privilégiée. Même le ministre kazakh de la tech s’est félicité publiquement du succès : 168 candidatures kazakhes, c’est vous dire l’effervescence du « hub » régional !

Et côté sponsors ? On ne fait pas les choses à moitié : Freedom Holding Corp (valorisée 10 milliards de dollars, s’il vous plaît), accompagnée d’une ribambelle d’accélérateurs, d’organisations internationales et de hubs nationaux. Grâce à eux, toute une génération d’innovateurs a trouvé non seulement le courage (et les fonds) de pitcher, mais aussi la lucarne pour s’imposer sur la scène mondiale.

Finalement, la vraie leçon, c’est qu’on n’innove pas (seulement) là où les gratte-ciel sont les plus hauts. L’Eurasie montre que la réinvention peut sortir d’un café d’Ouzbékistan comme d’un garage californien. Mais surtout, souvenez-vous : le prochain unicorn pourrait bien porter un chapeau kazakh, et le seul « Kazakhstan hack » des années à venir sera un pitch pour révolutionner le monde… À suivre à San Francisco – on prend les paris !

Source : Techcrunch

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