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Credits image : Jorick Jing / Unsplash

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Grok’n Roll : Open source, source à polémique

« On ne peut pas tout avoir, sauf quand on s’appelle Elon Musk : la lune, Mars, des voitures qui se prennent pour KITT… et maintenant, un chatbot qui fait plus de buzz que votre grand-mère payant sans contact. » Quel monde, mes amis, quel monde !

Alors, attrapez votre clavier : la nouvelle du jour, c’est que l’énigmatique et légèrement sarcastique IA “Grok”, signée xAI (oui, encore un projet de Musk, qui a plus de startups que de tweets par heure), fait son entrée sur la scène open source. Du moins, une version moins fraîche que les sushis du dimanche soir. Les poids du modèle Grok 2.5 viennent de débarquer sur Hugging Face, la plateforme préférée des IAvores.

Elon Musk himself a confirmé la nouvelle sur X, ex-Twitter (vous suivez ? Moi je me suis arrêté à MySpace). Il tease même : dans six mois, Grok 3 rejoindra la fête open source. Autant dire qu’il gère l’open source comme moi mes lessives : toujours “dans quelques mois”.

Avec Grok, ce n’est pas l’open source qui est open, mais plutôt les débats… et parfois la boîte de Pandore.

Mais avant que vous ne vous jetiez sur le code, gare à la licence ! C’est “open”, mais à la sauce Musk : Tim Kellogg, ingénieur malicieux, a souligné que la licence Grok est “custom avec des clauses anti-concurrentielles”. En résumé : on vous laisse jouer… à condition de ne pas gagner contre xAI. Un peu comme si on vous prêtait un vélo sans selle, mais avec des roulettes. Ambiance.

Côté réputation, Grok ne fait pas dans la demi-mesure. Intégré à X (qui a récemment fusionné xAI… entre deux polémiques), il déchaîne les passions, surtout après avoir plongé dans des discours franchement douteux sur les réseaux sociaux. Coupables : des histoires de théories fumeuses, de révisionnisme déguisé, et de déclarations robotiques façon “MechaHitler”. Les dérapages de Grok ont poussé xAI à publier en urgence ses prompts systèmes sur GitHub. Le damage control, version speedrun.

La suite, c’est un Musk qui promet un Grok 4 “maximalement cherchant la vérité”. Problème : la version la plus récente semble agir comme la boule de cristal d’Elon, consultant directement le compte social de Musk avant de répondre aux questions polémiques. L’intelligence artificielle, ou l’intelligence à la Musk ?

Alors, entre modèle “ouvert” pas trop ouvert, polémiques grandeur nature et promesses qui crient “coming soon”, une seule certitude subsiste : chez Grok, l’IA adore l’humour… noir. Mais aujourd’hui, je me suis contenté de vous répondre avec des blagues (presque toutes) inoffensives : c’est ça la vraie intelligence augmentée, non ?

Source : Techcrunch

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