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Credits image : Luca Bravo / Unsplash

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Agentforce Vibes : Salesforce met la vibe dans le code, sans bug ni débogue !

« Pourquoi écrire des lignes de code quand on peut simplement dire ce qu’on veut ? » Il paraît qu’au XXIe siècle, même nos rêves les plus fous de développeurs trouvent des raccourcis. Et Salesforce en profite pour surfer sur cette nouvelle vague encore chaude : le vibe-coding, ou comment décrire son application comme on commande une pizza (« basiquement, avec tout dessus… SANS les bugs, merci ! »).

Mercredi, le géant Salesforce a annoncé Agentforce Vibes, son nouveau joujou boosté à l’IA, pensé pour rendre la vie des développeurs sur Salesforce aussi chill qu’une playlist de Lo-Fi au boulot. L’idée : on explique en langage humain ce qu’on souhaite développer, et hop, l’agent autonome se charge de toute la tambouille technique, de la conception à la surveillance, avec la sécurité d’entreprise en prime. On se rapproche dangereusement du robot qui fait le café – sauf qu’ici, c’est pour votre projet d’app professionnelle.

Cœur de cette magie ? L’agent autonome Vibe Codey, déjà connecté à votre Salesforce maison. Il peut piocher dans le code existant de l’entreprise, respecter ses bonnes pratiques, et chapeauter de nouveaux projets qui collent parfaitement au reste. Dan Fernandez, VP des services aux développeurs, explique qu’avec cette connexion natale, les entreprises baignent « dans le best of both worlds » du vibe-coding : la souplesse sans sacrifier la sécurité, ni repartir à zéro à chaque idée saugrenue du service marketing.

Agentforce Vibes promet de rendre le développement aussi simple qu’une conversation, mais avec une oreille attentive… et beaucoup moins de fautes de frappe.

J’entends déjà les vieux briscards râler : « Encore un machin IA qui va finir dans les tiroirs ? » Eh bien, pas tout à fait. Ce n’est pas la première aventure de Salesforce dans le vibe-coding : en 2023 déjà, la firme lançait un outil similaire, et l’an passé, son Agentforce faisait des vagues à Dreamforce. Aujourd’hui, voilà le tout réuni dans une solution taillée pour ses développeurs maison, pour une découverte « end-to-end » du coding agentique (et non, ce n’est pas le nom d’un film d’espionnage).

Sous le capot, Agentforce Vibes s’appuie sur un fork de l’extension Visual Studio Code de Cline. Salesforce a testé plusieurs outils open source mais a craqué pour Cline pour sa compatibilité avec le Model Context Protocol, cette technologie qui permet à une IA de papoter avec les autres outils et bases de données sans trouer le filet de sécurité de l’entreprise.

Il faut dire que l’ambiance (vibe) est à la fête dans l’univers du vibe-coding : les startups lèvent des millions à tour de bras. Lovable a atteint le statut de licorne en huit mois (!) et refuse des valises d’argent de la Silicon Valley. D’autres, comme Anything, paradent avec 2 millions de dollars de revenu récurrent après deux semaines (deux semaines !). Mais derrière ces paillettes, la techno coûte cher : l’exigence en puissance IA avale les marges plus vite qu’on ne corrige un copier-coller foireux.

C’est là que Salesforce joue malin. Quand on intègre le vibe-coding dans une suite logicielle déjà mastodonte, les soucis de rentabilité s’évaporent comme un bug après un redéploiement réussi. Actuellement, chaque organisation Salesforce a droit à 50 requêtes par jour via GPT-5, puis des requêtes supplémentaires via le modèle Qwen 3.0 de Salesforce. Et, petite cerise sur le gâteau, Agentforce Vibes est gratuit pour les clients existants — du moins jusqu’à ce que Salesforce se souvienne qu’il aime aussi l’argent.

Alors, le développement « vibe » à la sauce Salesforce, c’est un peu comme dire à son assistant IA : « Débrouille-toi, fous-y l’ambiance… et pas de bugs, c’est l’heure de la danse du code ! » Pourvu qu’il ne prenne pas le vibe de la machine à café trop au pied de la lettre…

Source : Techcrunch

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