a car is parked in a showroom with balloons

Credits image : I'M ZION / Unsplash

HardwareSmartphonesTechnologie
0

DJI entre deux selles : quand le drone fait le vélo

« Pourquoi les vélos ne tombent-ils jamais amoureux ? Parce qu’ils sont déjà pris par la chaîne ! » — Commençons cette exploration sur une bonne roue, car aujourd’hui, attention les mollets : DJI, célèbre pour ses drones, débarque dans le monde des vélos électriques avec leur nouvelle gamme signée Amflow. Plus besoin d’avoir ses têtes dans les nuages pour s’envoler, un bon vélo (avec un moteur de 1000W, s’il vous plaît) fera largement l’affaire, surtout pour ceux qui veulent grimper la montagne… sans la sueur.

Un an après avoir séduit les sportifs européens, les Amflow sont enfin disponibles aux États-Unis. Et histoire de ne pas céder à la prise de poids post-pandémie, DJI a tout misé sur la légèreté : à peine 18 kilos pour leurs modèles stars, grâce à un ingénieux système de suspension (co-signé avec FOX) et une transmission SRAM si raffinée qu’elle pourrait presque rendre jaloux votre smartphone. MAVIC qui ?

Cœur technologique de la bête : le fameux moteur Avinox, non seulement puissant (vous me direz 120 Nm, les racines et les cols de montagne n’ont qu’à bien se tenir), mais aussi rusé comme un renard en short grâce à son mode Auto bourré de capteurs fusionnés. Ce mode ajuste l’assistance selon le terrain, pour une expérience de pédalage si intuitive que vous pourriez croire que le vélo lit dans vos pensées. Mais le plus fort, c’est que la recharge est trois fois plus rapide que d’habitude et qu’un écran tactile couleur centralise tout, comme un tableau de bord de vaisseau spatial pour cycliste geek — connexion smartphone incluse, évidemment.

Les vélos Amflow redéfinissent l’ascension… mais tout le monde ne pourra pas atteindre le sommet.

Bref, la formule est tellement avancée qu’on s’attend presque à voir le vélo décoller tout seul. DJI n’a pas oublié les gadgets : fourches performantes, transmissions précises, et batteries qui se gavent à la vitesse de l’éclair grâce à la GaN tech. Et si par malchance votre smartphone tombe en panne, pas de panique : il reste l’écran intégré pour surveiller vos exploits et régler votre assistance. Peut-être qu’un jour, il pourra même répondre à « Est-ce que je roule droit ? ».

Mais, vous l’aurez deviné, à technologie de pointe, prix qui pique : l’entrée de gamme s’affiche à 7 500 $, pendant que le Pro frôle le mur du son à 10 200 $. Pas de panique, si votre banquier dort dans la pièce à côté, DJI propose des essais sur route pour rêver un peu (ou beaucoup) avant de casser le PEL. Espoir tout de même sur la planète vélo, puisque 16 marques internationales vont bientôt proposer leurs modèles propulsés par le célèbre moteur Avinox — qui sait, le rêve deviendra peut-être plus abordable demain ?

Que les fans de drones se rassurent, DJI n’a pas mis la clé sous la porte de son atelier volant : la firme continue de sortir des modèles qui font planer (comme le Mavic 4 Pro, que les testeurs célèbrent déjà) – preuve qu’il y a de la place pour voler et rouler ! Bref, chez DJI, le vélo n’a pas remplacé le drone, il complète simplement l’arsenal techno de la marque.

Alors, prêts à enfourcher la technologie à toute allure ? Chez DJI, on ne roule pas sur l’or, mais avec de telles machines, on pédale d’avance. À ce prix-là, mieux vaut quand même éviter la crevaison : sinon, c’est la note salée qui vous mettra la pression… et pas votre pompe !

Source : Engadget

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.