« Saisissez votre chance avant qu’elle ne parte en brainstorming… » Voilà ce que dirait probablement un entrepreneur, un café serré à la main, quand on évoque la prochaine édition de TechCrunch Disrupt 2025. Faire le buzz à San Francisco ? C’est à portée de main… ou plutôt de table ! Mais attention, les places disparaissent plus vite qu’une licorne en Bourse !
Si votre rêve est de croiser Sequoia, a16z et la faune bigarrée de la planète VC (et de leur taper dans l’œil, évidemment), inutile d’attendre Toto pour montrer votre startup. Car pour cette édition, il ne reste que 10 tables disponibles… et un petit compte à rebours de 5 jours ! Pour briller sur le floor de l’Expo, il va falloir sprinter, pas draguer.
Au menu, des avantages qui donnent envie de maquiller son stand en piste de décollage : exposition de votre marque sur la page Disrupt, dans l’appli officielle, 10 pass VIP pour votre crew (et même la belle-mère si elle a un pitch à faire). Cerise sur la noix de San Francisco : la certitude, peut-être, de repartir avec de nouveaux clients ou de s’offrir une photo avec un investisseur aussi célèbre qu’Elon Musk derrière son tweet favori.
Posez votre table, pas votre cerveau — la visibilité n’attend pas !
Vous pensez que votre concurrent n’est pas en train de bricoler son stand sur Canva ? Détrompez-vous. Pendant que vous hésitez entre « métaverse » et « IA générative » dans votre deck, d’autres posent déjà leurs bannières et appâtent les investisseurs à coups de gadgets connectés et de slogans qui clignotent plus que Times Square. Le retard à l’allumage, ça se paie cher à Disrupt !
Et puis, dans ce genre de grand-messe tech, il n’y a pas que l’expo. On vient aussi, soyons honnêtes, pour ces moments imprévisibles où une rencontre anodine devient une chaîne d’événements qui finit par changer la trajectoire d’une boîte… ou au moins récolter un tote bag de plus pour la collection. La magie des rencontres, c’est souvent ce qu’on n’avait pas prévu sur le business plan.
Alors, pour ceux qui rêvent de prendre une longueur d’avance, c’est maintenant ou… à l’an prochain. Il ne reste que 10 tables pour voir grand, réseauter fort et (peut-être) repartir la tête pleine de deals, mais surtout d’idées.
Et surtout, n’attendez pas que la FOMO (Fear Of Missing Out) se mue en JOMO (Jealousy Of Missing Opportunities). On dit toujours « table rase »… mais sur le salon Disrupt, c’est plutôt « table prise » !
Source : Techcrunch
