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Credits image : Nihal Demirci Erenay / Unsplash

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L’IA ou L’Art de Jongler avec l’Humanité

« Le problème avec le monde réel, c’est qu’il manque de bouton ‘réinitialiser’. Heureusement, dans le monde de la tech, nous avons Adam D’Angelo. » Ah, les montagnes russes technologiques de ces derniers temps ! Imaginez-vous assis au sommet d’une des plus intrigantes startups de l’AI, OpenAI, à vous dire : « Quoi, on a viré qui ? Sam Altman ? Et on le remet ? » Eh bien, Adam D’Angelo a vécu ça, restant le seul constant d’un conseil d’administration en pleine métamorphose.

Non content de naviguer dans les eaux tumultueuses d’OpenAI, D’Angelo avait ses propres vagues à surfer avec Quora, se lançant gaiement dans les bras accueillants de l’AI, tout en relevant les gros sous au passage. Avec un petit $75 millions en poche, valorisant l’entreprise à quelque $425 millions, Quora se lançait dans l’aventure de Poe, une plateforme ouverte d’exploration permettant de papoter avec une série de chatbots, ou même d’en créer !

Entre temps, Quora se trouvait à la croisée des chemins : est-ce que le monde avait encore besoin de Q&A humain maintenant que l’AI pouvait vous dire que la capitale de la Californie est Sacramento sans manquer d’empathie ? Eh bien, D’Angelo croit dur comme fer au pouvoir de l’humain pour tapoter sur l’éternelle connaissance collective d’internet, tout en étant une encyclopédie ambulante de l’histoire de la tech.

« D’Angelo : L’équilibriste qui danse entre les algorithmes d’AI et l’esprit humain. »

Quelle que soit la progression fulgurante des IA, D’Angelo maintient que Quora, avec ses utilisateurs battant des records de fréquentation, détient une place spéciale dans l’écosystème de la recherche de réponses. Malgré les hallucinations occasionnelles de ses collègues IA, le coeur de Quora bat encore au rythme des cogitations humaines.

Il en va de même pour Poe, cette plateforme où bourgeonnent désormais des millions de bots, créant un véritable défi pour ceux cherchant à émerger du lot. Et face à cette infini jungle digitale, Quora veut être le gentleman qui ouvre la porte de la reconnaissance aux développeurs ambitieux, tout en écartant toute idée de polluer Poe avec des publicités criardes.

La magie ne s’arrête pas là puisque Quora, ce Vénus de la connaissance humanisée, teste l’intégration de réponses générées par l’AI, pour ensuite, qui sait, laisser les utilisateurs créer des images à partir de leurs réponses. Entre temps, D’Angelo, loin de rester les bras croisés, réfléchit à comment séparer le bon grain de l’ivraie dans ce nouvel âge d’or des réponses automatisées.

Pendant que D’Angelo tisse sa toile entre Quora et OpenAI, restant diplomate sur les éventuelles rivalités, il rêve d’une synergie où l’AI ne sera pas seulement une collection de réponses auto-générées mais un amplificateur de la sagesse collective humaine. Quora persiste et signe : pas de course à la modélisation maison pour le moment, l’heure est à l’observation prudente des tumultes de l’IA.

Avec un humour subtil, D’Angelo jongle avec les dilemmes de la tech d’aujourd’hui, rappelant que malgré les tumultes, les vraies réponses requièrent souvent un zeste d’humanité. Et comme dirait l’autre : « L’avenir appartient à ceux qui intègrent l’IA sans perdre l’esprit de l’humanité ». À méditer… ou à programmer ?

Source : Techcrunch

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