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Credits image : Annie Spratt / Unsplash

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Oui Capital ou les Fintech-aïkes Africains

« Investir, c’est un peu comme jouer aux échecs ; il faut savoir anticiper ses mouvements. » Et c’est exactement ce que Oui Capital semble avoir réussi lors de sa dernière réunion avec ses investisseurs.

Imaginez un jeune investisseur africain dans les coulisses, Oui Capital, qui a créé une onde de choc en annonçant avoir récupéré son fonds d’inauguration de 4 millions de dollars grâce à la vente de parts dans la plate-forme bancaire Moniepoint. Oui, vous avez bien lu, un retour sur investissement qui fait sourire jusqu’à la pointe des chaussettes de ses investisseurs. Ah, l’amour de l’argent bien investi!

Un coup de maître que Oui Capital a réalisé en pariant sur la fintech nigériane Moniepoint en 2019. Avec un investissement initial de 150 000 dollars, la startup a fait un bond prodigieux, rapportant 8 millions de dollars à Oui Capital. Que dites-vous de ça pour un retour sur investissement? Suffisant pour couvrir tout le fonds de départ.

Quand la fintech fait du clic, elle rend les bénéfices frénétiques.

Avec cette opération, Oui Capital sort du lot, tant en Afrique que sur la scène mondiale, où rares sont les jeunes firmes de capital-risque à réussir cette prouesse avec leur premier fonds. D’autres acteurs africains comme CRE VC et 4DX Ventures s’étaient eux aussi démarqués en soutenant des licornes telles qu’Andela et Flutterwave. Un retour que beaucoup dans l’écosystème financier considèrent comme une chimère.

Moniepoint ne jouait peut-être pas encore dans la cour des grands lorsqu’elle portait le nom de TeamApt. Mais grâce à un soutien visionnaire de Oui Capital et à une réorientation stratégique en vers ce que Moniepoint est aujourd’hui, elle est devenue la plus grande plateforme de services marchands du Nigeria. Un exemple brillant de ce que la synergie entre capital et innovation peut accomplir.

Mais ce n’est pas tout, Oui Capital ne reste pas les bras croisés. Leur carte de visite affiche fièrement d’autres succès tels que Duplo et Maad. Avec toute une ribambelle de startups dans leur escarcelle, la musette n’est pas près de se vider.

En somme, Oui Capital démontre que dans le monde parfois austère de la finance, investir avec audace et intuition peut engendrer un jackpot qui fait passer la case départ de Monopoly pour un jeu d’enfant. Et tandis qu’ils continuent sur leur lancée, le monde ne peut qu’attendre impatiemment leur prochain coup de maître. Après tout, avec Moniepoint, ils ont prouvé que leur flair pour les affaires n’est pas qu’une simple péllicule dans l’objectif du succès.

Source : Techcrunch

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