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Credits image : Michael Dziedzic / Unsplash

Intelligence ArtificielleTechnologie
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Plongée Profonde ou Dérive Savante ?

« Donner du poisson à un homme et il mangera une fois, mais apprends-lui à le chercher sur Internet et il passera ses journées à scruter Google en quête d’algorithmes capricieux. » Mesdames et messieurs, préparez vos neurones pour une plongée en eaux profondes dans l’univers fascinant de l’IA !

OpenAI vient de dévoiler son dernier bijou technologique, une version super VL (pour « Véritablement Longue et Véritablement Lente ») de ChatGPT : ChatGPT Deep Research. L’objectif ? Faciliter la recherche complexe pour les pros des secteurs pointus comme la finance, la science, et même pour ceux d’entre nous comparant huit tasses à café avant d’en acheter une. Baptisée fort justement « deep research », cette nouveauté propose une plongée en raid des sites web et sources diverses, cherchant à transformer votre requête Internet en une sorte de quête épique digne d’un roman de Tolkien.

D’ores et déjà accessible aux membres privilèges de ChatGPT Pro avec une limitation à 100 requêtes mensuelles (de quoi occuper vos soirées d’hiver !), cette fonction sera bientôt offerte aux abonnés Plus et Team, avant, pourquoi pas, de conquérir la galaxie Enterprise. Hélas, point de calendrier à l’horizon pour les utilisateurs du Royaume-Uni, de la Suisse, ou des zones européennes. Nos bons voisins devront-ils se contenter de lire les aventures des autres ?

Un outil puissant mais encore en rodage, le Deep Research promet des découvertes aussi surprenantes que quelques ratés sympathiques.

Afin d’exploiter cette prouesse technologique, il suffit de sélectionner l’option « deep research » sur le site web de ChatGPT et d’inscrire la question brûlante qui vous taraude l’esprit. J’ajoute ici un bémol : préparez-vous à patienter entre 5 et 30 minutes pour la réception du précieux sésame… de quoi se faire un bon café bio ! Pour le moment, les résultats sont textuels, mais OpenAI a dans ses cartons l’ajout de visualisations et autres délices digitaux.

Bien sûr, pas question de sombrer dans l’illusion d’un monde parfait. Comme tout bon modèle d’IA qui se respecte, ChatGPT deep research n’est pas dénué de ses petits caprices : hallucinations, erreurs factuelles ou citations douteuses. Voilà pourquoi chaque sortie de cet outil sera « entièrement documentée », ce qui, espérons-le, permettra à nos essais et boulettes d’être corrigés avec rigueur scientifique.

Pour parfaire son efficacité, OpenAI mise sur son modèle O3 qui lui-même profite d’un apprentissage par renforcement grâce à une bonne dose de tests réels. Naviguer, interpréter, analyser : notre brave o3 prend du galon, et avec un score de 26.6% d’exactitude à l’examen ultime de l’humanité, il se positionne loin devant ses compères malchanceux. Mais qu’on se le dise, la route vers l’invincible sagesse est encore longue.

Alors, mes chers geeks, si vous avez besoin de plongées en profondeur dans l’information, des remises en question du simple copier-coller ou même, avouons-le, de quelques ratages mémorables pour alimenter vos anecdotes lors des dîners en ville, ChatGPT Deep Research pourrait bien devenir votre nouveau meilleur ami. Faites simplement attention à ne pas vous noyer dans la mer de données !

En tout cas, Google ne nous a pas attendu pour lancer une fonctionnalité similaire ! Deep research, le retour… défi ou plagiat ? À vous de juger.

Source : Techcrunch

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