« Dans l’univers technologique, ceux qui dominent sont ceux dont l’IA déborde. » Est-ce que cette citation a du sens ? Probablement pas plus que certains modèles d’IA évoqués ici. Embarquons pour une virée dans le monde parfois ubuesque des modèles d’IA, où les géants de l’innovation se battent à coups de puces électroniques et de rayures de benchmarks !
Dans cette jungle d’algorithmes, où même Indiana Jones s’y perdrait, triompher ne tient qu’à une chose : avoir le modèle le plus impressionnant… mais aussi souvent le plus incompris. Les grandes entreprises technologiques et les petites start-ups lancent sans cesse de nouvelles créations, espérant que leurs métriques les plus sophistiquées suffiront à épater la galerie. Et pour prendre un instantané de ce marathon effréné, TechCrunch a décidé de partager les créations les plus époustouflantes de 2024 et 2025, avec une pincée d’ironie bien sûr.
Comment naviguer dans cet océan où navigueraient sans problème des modèles comme le GPT 4.5 Orion d’OpenAI, qui malgré son poids intellectuel, trébuche parfois face à des énigmes enfantines ? Ou encore, le Claude Sonnet 3.7 d’Anthropic qui se targue de penser comme un humain, mais à des tarifs PPV. Mais attendez, ce n’est pas un film à la télé, c’est l’avenir de l’intelligence artificielle en action !
En fin de compte, l’essentiel reste que ces modèles, aussi sophistiqués soient-ils, gardent toujours un pied dans la réalité des utilisateurs – même s’ils doivent parfois jongler avec des balles imaginaires.
Prenons par exemple le modèle Grok 3 de xAI qui, bien que forgé dans la fournaise d’Elon Musk, a eu quelques ratés dans la compréhension politique. Lézardons encore un peu avec OpenAI et son modèle Operator, agent d’AI autonome qui décide de vous livrer des œufs à des prix d’or. Heureusement que Google, avec son Gemini 2.0, semble mettre de l’ordre dans cette ménagerie avec ses millions de fenêtres contextuelles… enfin, si vous souscrivez.
Que dire alors des créations de 2024 ? Une année où DeepSeek R1 est parvenu à séduire la Silicon Valley et où Meta a libéré son dernier Llama. Clairement, même les alpagas veulent leur part du buzz de l’IA. Quant à Sora d’OpenAI, soyez prêt à être étonné par des vidéos réalistes aux lois de la physique très flexibles. Ne vous lassez jamais des surprises que les algorithmes peuvent nous offrir.
En somme, si l’IA continue sur cette lancée, nous devrons rapidement réinventer la roue. Mais ne vous inquiétez pas, chers lecteurs, car, pour l’instant, votre meilleure alliée restera votre imagination. Après tout, dans le cirque de l’IA, mieux vaut être le clown qui rit que le lion qui rugit… ou rugit de douleur face aux bugs !
Source : Techcrunch