Ah, la GPU Technology Conference ou GTC pour les intimes! Elle se veut la vitrine ultime de l’innovation future, une sorte de foire technologique multimillionnaire avec des élites potassant sur des concepts qui nous dépasse, simples mortels tels que l’AI Agentic ou les modèles de robots visant à révolutionner aussi bien notre quotidien que l’industrie lourde.
Mais voilà, au-delà des plans pharaoniques de performance IA qui nous promettent monts et merveilles, Google nappe ses aspirations quantiques d’une dose de scepticisme. WhatsApp travaille à faire des conversations un modèle de fluidité insaisissable, similaire à ses prédécesseurs prenant les devants côté polyvalence. Toutefois, aller de l’avant signifie qu’il vous reste peu de place pour les cailloux sur la route de la régulation.
Qui auraient cru que l’austérité économique et la mainmise des géants tels que Meta ferait des émules d’une envergure aussi imprévue? Les Community Notes débarquent allègrement, mais ces ombres de la presse filtrant en deux dimensions pourraient bien soulever dédain et suspicion dans les méandres des ardeurs maximalistes.
Quand Google danse dans un théâtre numérique, on se demande quelles histoires ils écriront pour composer une symphonie harmonieuse parmi tant de chaos.
Peut-être que ces concerts de remue-méninges parsemés de magie suspecteront transformer ce qui était autrefois amorphe en pépite d’innovations. Mais, bien sûr, tout en veillant à ce que l’éclat présent ne s’évide pas en un souffle aveuglant. En tout cas, l’orchestre semble plus hésitant, les partitions, bien que mélodieuses, ne révèlent rien encore du final.
Alors que la ligne médiane entre rêve et technologie tangue au gré des marées improbables, les changements de paradigmes se cachent derrière les rideaux. Peut-être est-il temps désormais d’examiner entre les plis de la technologie les tendres racines d’une révolution et ses ramifications finalement humaines.