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« Télétravail », une voiture contre le CO2.

« Travailler à la maison est agréable, mais on oublie souvent que zoomer sur son canapé peut nous rendre un peu trop à l’aise ». Voilà qui résume bien les mutations qu’ont connues nos modes de travail depuis la pandémie de COVID-19.

Avant 2020, la vie de bureau des Américains suivait une symphonie bien orchestrée: lever, trajet en voiture solo, journée de travail, puis retour maison. Mais en mars 2020, comme un DJ déchaîné, le COVID a mixé notre routine quotidienne pour nous catapulter dans l’ère du télétravail. Et ça, mes amis, c’est loin d’avoir été temporaire.

Selon le Département du Travail des États-Unis, le télétravail a bondi de façon impressionnante en 2020 pour devenir, en 2022, une norme pour 31,3 % des travailleurs. Exit les 76% d’Américains qui prenaient leur voiture en solo tous les matins. Montrez-moi plus de kilomètres épargnés, et je vous montrerai plus de CO2 qui reste bien sagement en dehors de notre atmosphère.

La crise climatique n’est peut-être pas terminée, mais les trajets solitaires à la pompe ont reçu leur note de passage.

Le charmant duo Microsoft-Cornell nous rappelle qu’en ligne, travailler chez soi génère 54% de carbone en moins qu’au bureau, même si accessoirement, nos petites escapades en voiture pour aller à l’épicerie peuvent perloupiner notre bilan carbone. Ah, ces petites courses post-télétravail, le doux péché d’une occupation casanière.

Pourtant, certains capitaines d’industrie comme Elon Musk et Jamie Dimon semblent crispés à l’idée d’un monde sans bureaux bondés. C’est bien vrai : le patron de Tesla trouve le télétravail « dérangé », sans doute en pensant aux travailleurs qui ne peuvent pas scroller tranquillement leurs mails en pyjama.

Avec Musk et ses mesures dignes d’un camp militaire, près de 1,1 million de fonctionnaires américains se voient rappeler amicalement (ou pas) l’existence de leur bureau. Mais, et c’est un grand mais, combien coûtent, en termes de gaz à effet de serre, chacun de ces allers-retours quotidiens ? Peut-être que la planète ne pense pas que le télétravail soit « déréglé », mais plutôt un peu plus respirable.

Cher lecteur, si vous devez retourner au bureau, sachez qu’il est possible de réduire votre empreinte carbone. Que diriez-vous de prendre le bus ou d’enfourcher un vélo ? Ou peut-être un covoiturage pour retrouver votre attachement social oublié ?

Après tout, même si nous retournons au bureau, n’oublions pas les éclats d’un monde où less stress, less mess with our car emissions.

Source : Mashable

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