black and silver solar panel

Credits image : Biel Morro / Unsplash

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Branchement incontournable : l’IA et l’énergie font des étincelles

« Dans le futur, il n’y aura que deux types d’entreprises : celles qui utilisent l’intelligence artificielle et celles qui sont obsolètes. » – Adaptation moderne d’une citation quelque part sur Internet.

En voilà une inquiétude qui connecte les têtes des CEOs à la dure réalité des kilowatts : avec l’essor de l’IA, les demandes en énergie sont prêtes à faire sauter les plombs, littéralement ! On pourrait penser qu’on frôle la panne de courant à chaque coup de folie d’un algorithme. Cependant, une forêt luxuriante d’énergie – mesurée en terawatts – attend patiemment son quart d’heure de célébrité dans un dédale administratif interminable.

Focus sur PJM, le DJ de l’électricité qui envoie la sauce à travers les États du mid-Atlantic, Ohio, et nord-est du Kentucky. La grosse file d’attente de ses demandes de connexion ressemble davantage à l’entrée d’un concert de rock qu’à l’ennuyeuse administration qu’on pourrait s’imaginer. Mais attention, Google et PJM ont un plan pour faire bouger les choses !

« Il n’en faut pas plus qu’une rencontre entre l’IA et l’électricité pour court-circuiter les obstacles bureaucratiques. »

Google et PJM s’associent pour développer des modèles d’IA capables d’alléger les procédures d’application un peu trop lourdes, comme un bon smoothie allège la digestion après le repas. Bien sûr, l’ambition est de rendre la planification énergétique aussi élégante qu’une danse entre soleil, vent et nukes (sans oublier les fossiles jaloux). Faites chauffer les algorithmes et tant pis pour les formulaires en double exemplaire sur papier carbonné !

Les géants de la technologie tels qu’Amazon, Google, Meta et Microsoft courent déjà après chaque watt disponible, signant des contrats avec l’énergie solaire comme d’autres collectionnent les pins. S’ils étaient cuisiniers, ils utiliseraient à la fois le four solaire et les réacteurs nucléaires pour réaliser leur plat principal : des centres de données gourmands.

Imaginez un peu la scène : pas moins de 2,6 térawatts d’énergie attendent leur feu vert, selon le Lawrence Berkeley Lab. PJM, avec son interminable file d’attente de 286,7 gigawatts, cesse de traiter les candidatures depuis 2022. Et ils ne sont pas d’humeur à appuyer sur le bouton « lecture » avant 2026. Pendant ce temps, des énergies renouvelables attendent leur tour, comme un bon petit vin rouge dans une cave un peu trop humide.

Traditionnellement, les fossiles règnent en maîtres dans la cour de récréation de PJM. Mais comme un bon film qui fait son remake, les énergies renouvelables espèrent bien devenir les nouvelles stars de la grille. Google et PJM promettent que l’IA, en bon maître de cérémonie, saura jongler avec piété entre toutes les énergies, sans préférence particulière pour une couleur.

Ainsi, dans cette danse électrique entre innovation et régulation, espérons que cette collaboration ne tombe pas dans les circuits complexes de l’ennui. Et comme on dit dans le métier, tant qu’il y a de la watt, il y a de l’espoir !

Source : Techcrunch

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