Que ce soit un parapluie open-source, un tweet surréaliste ou une paire de lunettes magiques, le monde technologique marche sur la tête. La semaine a été riche en rebondissements et délires. On se croirait presque dans un épisode de « Mythic Quest » avec Apple qui nous surprend avec un dernier au revoir, réinventant le concept même de « saison finale ». Ah, le monde du streaming et de la technologie, où tout est possible et rien n’est permanent, surtout quand il s’agit d’attirer l’attention des consommateurs.
Au cœur de cette effervescence, même l’administration Trump ne résiste pas à la tentation de manipuler l’échiquier technologique. Avec ses nouveaux ajustements tarifaires, certaines catégories de produits comme les semi-conducteurs sont sous une loupe qui ne pardonne rien. Entre exemptions évasives et taxes spéciales, on dirait que les courses de cette semaine se jouent sur un plateau mouvant où le mot d’ordre semble être: « produisons américain, coûte que coûte. »
En parallèle, Jack Dorsey et Elon Musk continuent de jouer les philosophes en herbe sur Twitter, remettant en question les lois de la propriété intellectuelle. Quand deux géants technologiques en viennent à envisager « l’open source total », on pourrait presque croire à une évasion sociale comme chez Darwin. Sauf qu’au fair-play numérique, s’ajoute l’ambition de dominer un jeu dont les règles ne sont pas toujours clairement définies.
Quand la technologie inspire l’utopie ou la dystopie, le mystère reste entier.
Avec tout ceci, il n’est pas surprenant que la Linux Foundation affiche un sourire narquois depuis ses hauteurs bienveillantes d’open-source, jonglant entre maintes et une possibilités de partenariats innovants. Son ouverture n’a jamais été aussi pertinente, encore moins alors qu’Amazon envisage de livrer non seulement des produits mais aussi des soins de santé. Un mouvement intriguant qui, s’il réussit, pourrait redéfinir nos chemins quotidiens.
Entre offensive citoyenne, course au semi-conducteur national et guerres technologiques ouvertes, l’ère numérique n’en finit plus de réécrire son histoire. Sans doute, le cheminement jusqu’à demain nous réserve encore bien des surprises en pixels et en bits. Et n’oublions pas, chers lecteurs et lectrices, que si le sphinx informatique nous parle par énigmes, il est toujours en quête d’une réponse collective avant tout.
