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Credits image : Maxim Tolchinskiy / Unsplash

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Stargate : Quand l’IA prend un tarif… douanier !

« Construire un data center aujourd’hui, c’est un peu comme tenter d’assembler un meuble IKEA sans notice et sans la clé Allen : on sait plus ou moins où on va, mais il manque toujours un truc… et parfois, ce sont des milliards qui coincent. »

Bienvenue dans les coulisses du « Project Stargate » d’OpenAI, où SoftBank et ses camarades investisseurs se retrouvent face à un scénario digne d’Interstellar : l’expansion rapide des data centers alimentant l’intelligence artificielle, freinée par des obstacles économiques aussi imprévisibles qu’un bot GPT mal réveillé.

Pour ceux qui n’auraient pas suivi, OpenAI rêve en grand : lever un demi-milliard de dollars afin de bâtir l’infrastructure colossale qui hébergera demain nos IA préférées… mais il semblerait que la réalité financière ait décidé de mettre des bâtons dans les racks (de serveurs). Les vaillants banquiers, investisseurs privés et autres gestionnaires de fonds observent la situation avec la même confiance qu’un chat devant un bain : prudence maximale.

Entre tarifs imprévisibles et ambitions galactiques, même l’IA doit parfois redescendre sur Terre.

Le coupable du moment ? Pas une IA robotique devenue incontrôlable, mais bien des droits de douane imprévus, qui risquent d’augmenter le prix des composants clefs de 5 à 15%. Serveurs, racks, systèmes de refroidissement… tout y passe. Ce n’est plus une optimisation algorithmique, c’est le festival de la majoration !

En parallèle, l’éco-système de l’IA commence à saturer. Microsoft, Amazon et consorts ont mis un pied sur le frein niveau construction, craignant de se retrouver avec des centres informatiques vides comme un disque dur mal formaté. On n’investit pas des centaines de millions juste pour y stocker la poussière… ou pire, des memes en basse définition.

Quant à SoftBank, pourtant prompt à sortir le chéquier en janvier, on attend toujours la fameuse démonstration de confiance financière : pas de modèle de financement ni de réunions sérieuses avec d’autres partenaires potentiels. On dirait presque une série Netflix à suspense : la tension monte, mais personne n’appuie sur « play ».

Au fond, cette histoire de megaserveurs est une parfaite illustration de notre époque : même avec de grands rêves numériques, il faut parfois se battre contre les lois (du marché) et les limites (des tarifs douaniers) bien terrestres. Mais restons positifs : si le projet Stargate ne perce pas, c’est peut-être juste parce qu’il est en mode « hibernation »… ou qu’il cherche encore la notice de montage.

Source : Techcrunch

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