A small house on top of a pile of money

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Store Éclair : Microsoft casse la baraque… à prix cassé !

« Si vous pensiez que gratuit c’était forcément louche, Microsoft aimerait discuter avec vous. » Parce qu’après tout, qui aurait cru qu’un géant de la tech prenne une page du livre des bonnes actions et décide de rendre l’accès à son store aussi ouvert qu’une boîte de cookies dans la salle de pause ?

Dès juin 2025, la firme de Redmond offre aux développeurs le tapis rouge… sans la facture de 19 dollars à l’entrée ! Oui oui, vous avez bien lu : publier une appli sur le Microsoft Store ne sera plus aussi coûteux que votre subscription au club de gym (ahem, auquel vous ne mettez jamais les pieds de toute façon).

C’est un timing plutôt cocasse, car chez Apple, on tire la tronche : Cupertino doit affronter une vague de critiques sur ses frais de commission et son sésame annuel de 99 dollars pour les développeurs. À côté, Google fait payer une petite taxe d’entrée de 25 dollars pour le Play Store. Bref : Microsoft, champion du « je régale », met la barre très haut… ou très bas, selon le point de vue.

Parfois, le plus innovant, c’est juste d’ouvrir la porte sans demander le ticket d’entrée.

Bon, ne sortez pas tout de suite votre faire-part pour une fête gratuite dans la Silicon Valley. Microsoft, doux mais pas naïf, garde tout de même la main sur les boutiques : 12% pour les jeux vendus via son système, 15% pour les applis. Si vous jouez au marchand indépendant et gérez vos propres paiements, là par contre, vous repartez avec la cagnotte complète pour tout ce qui n’est pas du gaming. Chacun son business model, nous direz-vous !

Cet élan de générosité n’est pas qu’amical : Microsoft sent bien le vent tourner dans l’industrie, entre procès et réglementations qui s’accumulent comme les notifications LinkedIn non lues. Le store de Windows veut attirer tous ceux qui rêvent de publier leur chef-d’œuvre numérique… sans se faire dévaliser à la porte d’entrée.

Et pour les créateurs en herbe, c’est une invitation à bâtir l’avenir numérique, sans se ruiner. Alors, on dit merci qui ? Pas besoin : dans cette guerre des plateformes, c’est le public qui encaisse les dividendes (et non, pas sous forme de micro-transactions !).

Au fond, Microsoft adopte la philosophie de la maison : « entrez, servez-vous, et… amusez-vous ». Espérons juste qu’ils ne changeront pas d’avis à la prochaine mise à jour. Après tout, on n’est pas à l’abri qu’ils rajoutent une option payante pour désinstaller Candy Crush.

Source : Techcrunch

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