« Un rendez-vous qui disrupte votre agenda, c’est plus fort que Netflix en mode binge-watching un dimanche pluvieux ! »
Attention, startupers, investisseurs, tech addicts et simples mortels curieux : TechCrunch Disrupt célèbre cette année son 20ᵉ anniversaire à San Francisco, du 27 au 29 octobre, et ce n’est pas une réunion Tupperware. Imaginez un peu : 10 000 passionnés entassés dans le Moscone West, tous venus pour jongler avec l’innovation, espionner la concurrence et, qui sait, croiser leur prochain cofondateur à la machine à café (ou, soyons honnêtes, au stand des cookies connectés). Si vous aviez prévu une petite balade tranquille en octobre, repensez-y – celle-ci promet plus de rebondissements que votre fil d’actus LinkedIn.
Disrupt n’est pas juste un parc d’attractions pour geeks en quête de badges gratuits. C’est LE moment où l’on croise les talents de demain, où un simple échange de regards autour d’un bagel peut finir en rachat à huit chiffres. Tous les ingrédients sont là : six scènes survoltées pour discuter IA, nouveaux marchés et IPO qui font trembler la bourse, sans oublier le fameux Startup Battlefield où les rêves d’entrepreneurs se jouent devant un panel d’investisseurs affamés (et, accessoirement, un chèque de 100 000 $ à la clé pour les plus téméraires).
C’est bien plus qu’une conférence, c’est l’endroit où l’on vient pour être surpris, et où l’innovation saute de la scène à votre agenda.
Et ce n’est pas tout ! Le casting des speakers ferait rougir Tarantino : Adam Bain (01 Advisors), Astro Teller de la fameuse Moonshot Factory, le visionnaire David George (Andreessen Horowitz), Gale Wilkinson (VITALIZE VC), ou encore Sangeen Zeb (Google Ventures) – chacun prêt à vous révéler le plot twist de sa success story (ou de ses plantages, ce qui est souvent plus instructif). D’ailleurs, les investisseurs présents n’attendent pas sagement la prochaine licorne : ils la débusquent, la conseillent, voire la coachent façon « Startup Academy » – mais avec moins de paillettes et plus d’Excel.
Être spectateur ? Très peu pour Disrupt ! Attendez-vous à des ateliers qui décoiffent, des tables rondes où l’on pose enfin les questions qui fâchent (« Est-ce que l’IA va vraiment piquer mon job ? »), et des démonstrations de produits capables de faire pâlir votre smartwatch. Bien entendu, l’expo est là pour séduire vos sens, et il paraîtrait que les meilleurs deals se nouent entre deux stands et trois cafés free-trade. Les plus audacieux peuvent même encore candidater pour la compète Startup Battlefield avant le 9 juin… comme quoi, il n’y a pas que les early birds qui chassent les opportunités.
D’ailleurs si vous sentez la pression financière monter, c’est peut-être le moment de cesser d’hésiter : le pass Early Bird c’est jusqu’au 25 mai, minuit. Jusqu’à 900 $ d’économies sur votre précieux ticket (et 90 % de rabais pour votre +1 – cofondateur, copine, grand-mère ou chatbot, c’est vous qui voyez). Au prix d’un faux pas, vous risquez de payer plein pot et d’expliquer à votre boss pourquoi l’intuition entrepreneuriale ne suffit pas à négocier à la caisse.
En résumé, Disrupt c’est un festival d’idées, de rencontres (et d’économies si vous êtes aussi rapides qu’un paiement sans contact). Rien n’est jamais tout à fait comme il paraît dans la Silicon Valley, et la vraie disruption naît parfois là où on s’y attend le moins. Alors s’il vous reste une once de FOMO : foncez, bloquez votre place… Parce qu’en tech comme en humour, il vaut mieux être à la pointe qu’au bord du précipice.
Vous hésitez encore ? Dites-vous qu’à ce prix-là, ce n’est plus une disruption, c’est carrément une affaire à ne pas buguer !
Source : Techcrunch