“La simplicité est la sophistication suprême” — Léonard de Vinci. Mais si Léonard avait eu à brancher un VPN pour mater Netflix Italie sans sous-titres, il aurait sans doute ajouté : “et surtout, que ça marche du premier coup !” Pas de panique, ExpressVPN débarque comme le Léonard du VPN, promettant vitesse grand V, sécurité de bâtisseur florentin, et interfaces épurées comme une Mona Lisa sans bug. Vous pensez que tout ça, c’est un peu trop beau pour être vrai ? Calmez votre scepticisme : on a mené l’enquête, test à l’appui !
ExpressVPN a le chic de rendre anonymat et navigation rapide comme une Renaissance numérique. Téléchargement mondial ralenti de 7 %, upload d’à peine 2 % : il a beau “casser” la vitesse (façon de parler), on ne voit guère la différence côté utilisateur. L’interface, elle, fait dans l’ascèse quasi-zazen : trois boutons, un cerveau au repos, jamais besoin d’ouvrir un manuel. C’est l’idéal pour l’internaute qui veut zapper les méandres techniques et juste voir du contenu sans frontières.
Évidemment, aucune œuvre n’est sans défaut. ExpressVPN n’est sûrement pas le Michel-Ange du paramétrage ultra-fouillé : les Geeks pleureront le manque de personnalisation, et franchement, question tarifs, c’est un peu la Chapelle Sixtine du VPN — splendide, mais onéreuse. Cela dit, les concurrents transpirent devant sa supériorité dans les duels de rapidité et de fiabilité. Côté faille, on note, à l’occasion, quelques limitations sur certaines plateformes et de rares soucis de fuite DNS sous Windows, mais rien qui transformerait votre anonymat en fromage à trous.
ExpressVPN, c’est un VPN qui préfère rater un accessoire plutôt que de rater l’essentiel : rendu ultra simple, ultra efficace.
Derrière toute cette promesse grand public, quelques détails cachés sont plus savoureux que la sauce secrète d’un Big Mac. Par exemple, son réseau de serveurs couvre 105 pays, avec 38 % de serveurs “virtuels” (pas de magie noire, juste une astuce géolocale classiques). Pas de journalisation intrusive : un audit indépendant a montré que ses serveurs RAM-only, à la “Mission Impossible”, s’autodétruisent à chaque redémarrage. ExpressVPN propose même, sur le gâteau, un gestionnaire de mots de passe et quelques bonus comme la surveillance d’identité. Mais il assume aussi son passé mouvementé — raids policiers en Turquie (sans fuite de logs), propriétaire un peu controversé (Kape Technologies, qui s’offre un joli monopoly des VPN), et une vieille histoire de CTO à la carrière shakespearienne.
Utilisation côté utilisateur ? Un bonheur pour allergiques aux réglages : Windows et Mac, c’est blanc bonnet et bonnet blanc, même design, même ergonomie. Sur Android et iOS, l’appli reste fluide, rapide, presque élégante — mention spéciale au Dark Mode Android pour mater ses séries en douce la nuit. Quant au support client, même les moins patients tomberont rapidement sur un vrai humain (et pas un robot qui boucle).
Lors des tests de performance, ExpressVPN tire vraiment son épingle du jeu : 93 % de la vitesse de téléchargement conservée en moyenne dans le monde, Netflix débloqué où bon vous semble, latence acceptable même pour les gamers qui n’aiment pas perdre… Bref, tout roule ! Les bonus gadgets ne sont pas légion, mais ce n’est pas le genre d’appli à vouloir en mettre plein la vue ou vous perdre dans une jungle de paramètres.
Côté prix, c’est un VPN qui se fait désirer : 12,95 $ au mois, ou 4,99 $/mois si vous vous engagez pour 28 mois (fournis avec garantie satisfait-ou-remboursé). Chaque formule vient avec ExpressVPN Keys (gestionnaire de mots de passe) et d’autres gadgets sécurité — mais si votre banquier surveille vos dépenses, “VPN de luxe” n’est pas juste une phrase marketing.
Conclusion ExpressVPN ? C’est le VPN qui ne vous donne (presque) aucune raison de stresser — c’est simple, rapide, fiable et l’interface ne vous jettera jamais dans les bras du SAV. Il coûte plus cher, mais dans le cybermonde, mieux vaut parfois sécuriser ses arrières plutôt que de surfer à découvert.
Et si vous ne savez toujours pas si vous devez passer chez ExpressVPN : rappelez-vous, mieux vaut un VPN qui Express que de courir après sa vie privée !
Source : Engadget