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Credits image : Austin Distel / Unsplash

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Levée de fonds et paiement : NomuPlay sur tous les tableaux !

« L’argent n’a pas d’odeur, mais il connaît plus de frontières que la majorité d’entre nous ! » C’est avec ce constat très parfumé que débute notre plongée dans l’univers trépidant de NomuPay, cette startup irlandaise qui ambitionne de rendre le paiement international aussi simple qu’un clic… ou presque. Alors accrochez vos portefeuilles (numériques) : on traverse l’Asie, l’Europe et même un soupçon de MENA sans jetlag, ni besoin de sortir son vieux dictionnaire des monnaies exotiques.

NomuPay a récemment levé la jolie somme de 40 millions de dollars auprès de SB Payment Service, filiale du géant japonais SoftBank. Oui, SoftBank… Vous savez, ceux qui investissent dans tout ce qui bouge, sauf peut-être dans des bottes en caoutchouc pour traverser la Tamise. La valorisation ? 290 millions de dollars, rien que ça, pour une fabrique à solutions de paiement transfrontalières qui, avouons-le, aime jouer les entremetteurs entre commerçants européens, asiatiques et américains.

Si vous pensez que lever des fonds, c’est comme acheter un ticket de loto, détrompez-vous : NomuPay sort déjà d’une levée de 37 millions en janvier ! En y ajoutant cette nouvelle rallonge, la startup approche désormais les 120 millions collectés. « On ne change pas une équipe qui gagne, surtout quand elle commence à coûter cher à l’apéro », plaisanterait peut-être le CEO Peter Burddige.

NomuPay veut simplifier les paiements internationaux, là où les autres voient compliquée la vie de bureau.

Mais alors, que fait NomuPay avec tout ce cash (en dehors, bien sûr, d’organiser la meilleure fête de Dublin) ? Leur ambition est claire : conquérir l’Asie, et même au-delà. Dès maintenant, la société intègre les moyens de paiement alternatifs japonais à sa plateforme. L’objectif : permettre aux marchands du monde entier de séduire les consommateurs nippons sans avoir besoin d’ouvrir une succursale à Tokyo et de maîtriser l’art délicat du karaoké.

Et ce n’est pas tout ! Bientôt, les cartes SBPS, la gestion multi-devise et la facturation IC++ débarqueront sur la plateforme. Peter (le CEO, pas le lapin célèbre) promet aux commerçants moins de casse-tête administratif et plus de flexibilité : des comptes virtuels multidevises, des services de trésorerie, la possibilité de régler ses fournisseurs comme on change de chemise – à grande vitesse, mais sans sacrifier la propreté.

Expansion, acquisitions, et développement commercial sont donc au menu, avec un coup de projecteur sur Singapour, l’Indonésie et le Vietnam pour couvrir un peu plus cette jungle de paiements qu’est l’Asie. NomuPay n’est pas qu’une belle histoire de levée de fonds : la boîte sert déjà plus de 2 000 marchands aux quatre coins de la planète et, petite anecdote croustillante, elle s’est même offert en 2023 la startup britannique Total Processing, histoire de muscler ses solutions anti-fraude et ses intégrations de paiement.

Le business model ? Rien de révolutionnaire, mais diablement efficace : une commission sur chaque transaction et l’assurance de dormir tranquille quand il s’agit de gérer les devises et les reversements. D’ailleurs, avec ses 250 employés déjà répartis sur le globe, NomuPay vise le cap des 45 millions de dollars de revenus bruts annualisés d’ici la fin 2025. Rien n’est jamais gagné d’avance dans les fintechs, mais avec une croissance qui frôle les 70 % cette année, les perspectives sont plutôt réjouissantes. Peter Burddige promet la rentabilité sous 12 mois ; on espère qu’il ne confond pas « bénéfice » et « bienfait ». Parce qu’à trop vouloir payer, on risque (encore) de tout encaisser !

En résumé, derrière l’avalanche de dollars et d’acronymes, NomuPay ne cherche pas à réinventer la roue, mais à huiler le moteur de la mondialisation commerciale. Le paiement international, c’est comme les blagues sur les traders : on ne sait jamais où ça peut s’arrêter, mais ça fait toujours sourire… surtout quand la facture arrive !

Source : Techcrunch

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