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Credits image : Suppanuch Wongpasklang / Unsplash

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OpenAI et Oracle : Un mariage dans le cloud qui électrise !

« Quand Oracle veut jouer dans la cour des géants de l’IA, ça fait un sacré cloud de poussière sur la Bourse ! » Voilà comment résumer la grande surprise que nous a offerte cette semaine le duo inattendu OpenAI-Oracle. Imaginez un peu : un accord de 300 milliards de dollars sur cinq ans qui a envoyé l’action d’Oracle dans la stratosphère et a laissé tout Wall Street avec des yeux aussi ronds que des GPU surchauffés.

Mais franchement, fallait-il vraiment être si surpris ? Oracle, ce n’est pas que la marque préférée de nos profs d’informatique des années 2000 ; la société continue de soutenir l’infrastructure de l’IA à très grande échelle. Chez OpenAI, cette envie soudaine de brûler des milliards pour du « compute » montre surtout à quel point le startup a faim de puissance de calcul – même si la question « qui va payer la facture d’électricité ? » flotte toujours dans l’air comme une sauvegarde oubliée sur le cloud.

Chirag Dekate, un vice-président du cabinet Gartner (vous savez, ces gens qui font plus de réunions que Zotero recense de PDF), nous explique pourquoi ce “deal” colle parfaitement. OpenAI veut éviter de mettre tous ses serveurs dans le même panier, et Oracle, avec ses muscles infrastructurels, peut l’aider à scaler plus vite que ses rivaux. C’est un peu comme organiser un mariage entre Usain Bolt et un distributeur de boissons énergisantes.

Malgré les apparences, Oracle n’avait jamais vraiment quitté la piste de danse de l’IA, il dansait juste sur un autre rythme.

Alors oui, ça en a surpris plus d’un de voir Oracle dans la liste des clouds préférés d’OpenAI, avec Microsoft, Google et AWS en mode « VIP » de la hype IA. Mais remember : TikTok aussi tourne sur l’infra Oracle aux États-Unis, preuve qu’il faut parfois gratter la vieille peinture pour découvrir le métal précieux derrière !

Bon, revenons au nerf de la guerre : qui va payer la note ? Car avec OpenAI qui annonce dépenser 60 milliards par an en cloud chez Oracle (et 10 milliards pour ses propres puces avec Broadcom), certains commencent à se demander si Altman n’aurait pas confondu « burn rate » et barbecue party géante. Certes, l’entreprise annonce des revenus colossaux, mais elle brûle son cash plus vite qu’un bot GPT à l’épreuve du BAC philo.

Mais le plus gros point d’interrogation reste l’énergie. Grâce à la ruée sur l’IA, c’est tout le secteur électrique qui s’affole. Aurons-nous assez de jus pour alimenter tous ces data centers ? Les analystes parient sur un retour en force du gaz, mais les énergies renouvelables — solaire, batteries, et même nucléaire — volent la vedette. D’ailleurs, les big tech achètent tout ce qui peut produire du mégawatt : champs solaires, centrales nucléaires, startups géothermiques… Telle une partie de Monopoly version kilowatt-heure.

Jusque-là, OpenAI restait discret sur le sujet, même si Altman, le patron, collectionne les investissements dans les énergies d’avenir. Mais avec ce contrat XXL, on parie que la startup aura bientôt les doigts dans la prise, quitte à déléguer le gros œuvre énergétique à Oracle. Une bonne tactique pour rester « asset light » et séduire encore plus les investisseurs.

Au final, ce méga-pacte OpenAI-Oracle nous rappelle la morale ultime du cloud : parfois, la vraie magie ne réside pas dans les strates logicielles étoilées… mais dans ceux qui tiennent la rallonge électrique ! Alors, pour OpenAI, espérons que le courant passe toujours aussi bien… et qu’Oracle ne coupe jamais la prise, sinon ce sera la panne de l’IA inspirationnelle.

Source : Techcrunch

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