« L’intelligence en entreprise, c’est comme un café serré : il faut qu’elle soit puissante, rapide, et qu’elle ne renverse pas tout sur son passage. » On l’aura compris, le monde de l’IA ne dort jamais, et il n’a pas l’intention de laisser sa place à la machine à café. Cette semaine, le grand Databricks a sorti son plus beau chéquier et signé un chèque de 100 millions de dollars pour danser la valse de l’intelligence artificielle avec OpenAI, l’équipe derrière GPT et qui, décidément, ne recule devant rien pour rester branchée.
Mais pourquoi ce tapage autour de Databricks et OpenAI ? Parce qu’ils veulent tous les deux être en tête de la playlist des entreprises qui cherchent à booster leur productivité grâce à l’IA générative. Chez Databricks, on propose déjà Agent Bricks, une boîte à outils AI qui permet de construire ses propres agents intelligents avec style (et un brin de panache).
Grâce à ce partenariat, OpenAI déroule désormais tout son éventail de modèles — avec en tête d’affiche le très attendu GPT-5 — sur la plateforme de Databricks. SQL, API, ou simplement pour le plaisir de briller devant ses collègues, ces modèles sont maintenant de la partie pour répondre au doigt et à l’œil aux besoins des grandes entreprises. Cerise sur le cloud : Agent Bricks peut maintenant jauger les différents modèles avec la précision d’un barista quand il dose l’espresso, pour garantir la meilleure mouture d’IA selon la tâche.
Quand deux géants misent 100 millions sur l’IA, ce n’est pas juste pour impressionner la galerie, c’est parce qu’ils pensent sérieusement à dompter l’avenir du business.
Brad Lightcap, le chef d’orchestre d’OpenAI, a même déclaré que ce partenariat apporte leurs meilleures intelligences là où sommeille déjà la donnée d’entreprise, histoire de réveiller définitivement le potentiel endormi de ces montagnes d’informations. Mais attention, sous les paillettes se cache tout de même un petit suspense à la Netflix : Databricks devra payer 100 millions même si les recettes ne suivent pas. Si le carton est au rendez-vous et que le succès dépasse la barre, OpenAI touchera le jackpot, sinon… Databricks aura payé pour un buffet illimité où tout le monde n’a pas mangé autant qu’espéré !
Gros risque ou coup de génie ? Seul l’avenir le dira. Ce type de deal n’est d’ailleurs pas inédit, car Databricks a déjà tenté la même aventure avec Anthropic en début d’année — apparemment, ils aiment jouer à « qui alignera le plus gros ticket sur la table ». La ruée vers l’IA modèle géant continue, et tous veulent leur part d’intelligence sur-mesure.
Côté clients, on annonce déjà la ruée. Mastercard, entre autres, ne s’est pas fait prier pour réclamer un accès natif aux modèles GPT. On se doute que d’autres grands noms suivront, histoire de ne pas rester sur le quai du train de l’IA.
En résumé : l’IA générative, on y croit ferme chez Databricks — même si on doit au passage payer 100 millions d’assurance. Un deal qui risque bien de faire des émules mais, avant d’en faire toute une montagne d’or, mieux vaudrait que l’IA ne se prenne pas un mur… Sinon, faudra-t-il appeler ça un agent brické ?
Source : Techcrunch




