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L’ONU embrasse l’IA : Une histoire d’amour ou un mariage de raison ?

« Qui peut prédire l’avenir ? C’est l’intelligence artificielle ! » Voici comment les hautes sphères se réveillent aux potentiels et aux pièges de l’intelligence artificielle. Hier, l’ONU a annoncé la création d’un nouveau comité consultatif sur l’IA, composé de 38 personnalités du gouvernement, du monde universitaire et de l’industrie, à la recherche d’un « équilibre mondial ».

Ce groupe pont sera en charge de toutes les autres initiatives sur l’IA par l’organisation internationale. Le but est de réunir des recommandations pour l’été 2024, lors d’un « Sommet du Futur » dirigé par l’ONU où se croiseront stratégies et approches autour de cette technologie.

La mission commence dès à présent : créer un consensus scientifique mondial sur les risques et les défis, contribuer à atteindre les objectifs de développement durable grâce à l’IA et renforcer la coopération internationale sur la gouvernance de l’IA.

« L’IA est en mesure de mener à bien des projets extraordinaires. De la prévision et de l’anticipation des crises, à la mise en œuvre de programmes de santé publique et de services éducatifs. »

Si l’on s’attarde un instant sur le comité, la note dominante en est la positivité. En dépit des mises en garde sur les risques liés à l’IA (menaces pour la sécurité nationale, protection des données, désinformation), le groupe est là pour faire entendre une voix constructive. Les experts convergeront la semaine prochaine au Sommet sur la sécurité de l’IA pour établir un plan d’action.

Le mantra du comité : passerelle entre les niveaux nationaux et internationaux, avec un œil toujours tourné vers la coopération et le développement international. Composé d’acteurs majeurs comme Google et Microsoft, ce panel promet des avancées historiques.

L’interaction avec d’autres initiatives nationales et internationales reste à définir, mais attentions aux robots rebelles ! Gary Marcus, qui a participé à une discussion informelle à Disrupt en septembre, souligne certains aspects préoccupants :

« Ma plus grande peur à court terme concerne la désinformation délibérée, créée en quantités massives, qui va ébranler la démocratie et toutes sortes de choses vont se produire après ça », dit-il le mois dernier.

Terminez avec une légère note humoristique : Pourvu que ces IA ne se mettent pas en tête de remplacer aussi les journalistes ! On aurait du mal à supporter une plume aussi métallique !

Source : Techcrunch

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