a computer screen with a bunch of words on it

Credits image : Emiliano Vittoriosi / Unsplash

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Quora : Un Chatbot nommé Désir…éthéré

« Chat alors, voilà que Quora tente sa chance en faisant de la haute voltige dans le vaste ciel des chatbots ! » – Alors que notre chatbot préféré, le somnolent Clippy, se repose tranquillement dans un cimetière numérique, Quora rebondit sur le bitume financier avec un bagout qui ne manque pas de pixels. Voici que la plateforme de questions-réponses débarque avec un fringuant montant de 75 millions de dollars , sacoche de fonds griffée Andreessen Horowitz, pour doper Poe, son nouveau copain IA tout chatonneux.

Mais qu’est-ce qui fait couiner les rouages de ces chatbots quoraesques plus fort que ceux des autres inondant le marché ? La stratégie est plutôt maligne : concevoir une niche confortable pour une économie de créateurs IA chatbots, sorte de loge accueillante où les créateurs peuvent capitaliser sur leurs prototypes de compagnons numériques. Pas de YouTube et ses revenus publicitaires ici, mais une monnaie de circuit court bien plus créative.

Adam D’Angelo, grand manitou de Quora, sort de sa boîte de Schrödinger pour nous annoncer que l’essence de cette manne financière serait vaporisée en aérosols de billets verts pour les inventeurs de petits êtres artificiels via leur tout nouveau programme de monétisation pour créateurs. Même les développeurs participant à l’intégration de bodibilders chatbots se verront récompensés pour leurs sueurs électroniques.

Quora mise gros sur ses créateurs, en les appâtant par la carotte financière, pour les inciter à enrichir son écosystème IA.

La spéculation chez Quora, c’est un peu comme une roue de hamster boostée au NOS : ça file désormais à toute vitesse. En octobre, le programme de monétisation pour créateurs de Poe est lancé, permettant à ces petits génies des pixels d’accumuler des pépites virtuelles. Et pour convoquer le bric-à-brac des chatbots, Poe accueille de bons vieux copains IA tels que ChatGPT, DALL-E 3, et autres, offrant un multivers ludique à leurs utilisateurs.

En 2017, la roue de Quora tournait à une allure de 1,8 milliard de dollars, mais patatras, la chute aujourd’hui est brutale, avec une barebelle frôlant seulement les 500 millions. D’Angelo, surfant sur la vague de cette nouvelle valorisation, reste malgré tout optimiste et embrasse la dévaluation comme une douce réinitialisation du marché.

Quelques calculs dans le processeur de Poe et hop, il s’avère que Quora a connu sa semaine record en termes d’usage l’autre jour, et maintenant voilà que la plateforme se pavane avec plus de 400 millions de petites souris (les utilisateurs uniques mensuels, pas les rongeurs). Et attention, sans compter sur Poe, Quora équilibre ses comptes, laissant toute cette verdoyante vague d’investissements se focaliser sur le poupon IA.

Les récepteurs aux données de TechCrunch nous soufflent que Poe a déjà court-circuité les compteurs avec plus de 250 000 installations mobiles dès son premier cri digital, tandis qu’un ouragan de téléchargements, atteignant plus de 18,4 millions, a par la suite balayé les boutiques d’applications, faisant virevolter leur système d’étoiles. Et pour clore, un peu d’arithmétique : Poe est actuellement une des plus grosses propriétés liées à l’IA générative, avec la modique somme d’un million de bots créés sur sa plateforme.

Pour la petite histoire, notre ami D’Angelo assure que ce coup de baguette magique financier permettra à Poe de miauler son succès sur la scène des IA. Si vous l’aviez raté entre les lignes, le CEO de Quora nous rappelle que son bébé est déjà grand et prometteur. Allez, j’éteins ma plume sur cette note qui appelle un sourire : chez Quora, on semble savoir comment attraper le chat par la queue !

Source : Techcrunch

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