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Credits image : Edi Kurniawan / Unsplash

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Quand Navi Ventile les Millions, C’est Sachin qui Garde le Cap

« L’argent ça va, ça vient, mais quand il vient, ça va mieux! » – alors imaginez quand Sachin Bansal, cocréateur de Flipkart, parle de lever des fonds pour sa startup fintech Navi. Selon trois sources mystérieuses parlant à TechCrunch, il cherche à séduire les investisseurs avec une valorisation aux alentours de 2 milliards de dollars. Entre nous, il espère lever entre 200 et 400 millions de dollars. Navi, c’est un peu la nouvelle star sur le marché des prêts personnels, prêts immobiliers et assurances santé.

Jusqu’à présent, Bansal a puisé dans ses propres poches pour financer Navi, mais il semble que le moment soit venu de passer à la vitesse supérieure. C’est l’histoire d’un milliardaire qui, malgré son immense fortune, ne dit jamais non à un peu plus d’argent extérieur. Mais attention, jusqu’à maintenant, c’est comme une recette de grand-mère, il a gardé les détails du deal secret.

Et pourtant, Navi a connu son lot de montagnes russes financières. À l’origine, la startup voulait jouer dans la cour des grands avec une levée de fonds de 440 millions de dollars par introduction en bourse. Mais, comme un chat effrayé par l’eau, ils ont reculé devant le marché tumultueux des IPO de l’an dernier.

« C’est comme un soap opera financier, mais avec moins de drame amoureux et plus de chiffres. »

Mais l’espoir de lever des fonds se profile à l’horizon pour Navi, signalant peut-être un changement de vent pour le marché des ventures en Inde et un futur radieux pour la fintech à l’échelle mondiale. Après une année 2023 plutôt morose où le financement des startups a chuté de 73 % en Inde, la situation pourrait s’améliorer.

Alors que des géants globaux comme Tiger Global et SoftBank se sont faits plus discrets l’an dernier, et que les investisseurs indiens se sont tournés vers des firmes naissantes, tout espoir n’est pas perdu pour les startups indiennes. Après tout, avec des régulations serrées de la part de la Reserve Bank of India, affronter un peu de frissons financiers n’a jamais fait de mal à personne, non ?

Depuis son départ de Flipkart en 2018, avec un joli pactole d’un milliard de dollars, Bansal n’a pas chômé et a pris le pari de financer Navi sur ses fonds propres. Mais même s’il a flirté avec l’idée de faire appel à des investisseurs, dont SoftBank, les plans ont été remisés au placard suite au rejet de leur demande de licence bancaire par le régulateur indien.

Récemment, Navi a affiné sa stratégie, vendant sa division de microfinancement Chaitanya India pour 178.5 millions de dollars. Bansal ne perd cependant pas de vue son ambition de refaire surface sur le marché des IPO, et pourquoi pas, de transformer Navi en banque, une fois le feu vert du régulateur obtenu.

Source : Techcrunch

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