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Une intelligence artificielle plus inclusive est-elle l’avenir ?

Quelle place pour les femmes dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA) aujourd’hui ? Cette question mérite d’être posée à l’heure où TechCrunch met en lumière, à travers une série d’interviews, des femmes académiciennes axées sur l’IA qui méritent — et depuis longtemps — d’être reconnues pour leur travail révolutionnaire. Mais quelles sont leurs histoires, et comment contribuent-elles à façonner l’avenir de la technologie ?

Tara Chklovski, PDG et fondatrice de Technovation, se démarque par son engagement. Depuis 17 ans, elle dirige cette organisation à but non lucratif qui initie les jeunes filles à la technologie et à l’entrepreneuriat, leur permettant d’utiliser la technologie pour résoudre certains des problèmes les plus urgents du monde. Mais comment cette passion pour l’IA a-t-elle vu le jour chez Chklovski, et qu’est-ce qui l’a attirée vers ce champ d’étude et de travail ?

En 2016, lors de la conférence de l’AAAI à San Francisco, Chklovski a été introduite à l’IA et à son potentiel pour aborder des problèmes allant de l’espace à la bourse. Cette découverte a aligné la mission de Technovation avec les outils les plus puissants et avancés pour servir les communautés les plus défavorisées. Mais est-ce que ce potentiel de l’IA a été reconnu au-delà des cercles techniques, et notamment par les mères afro-américaines qui, selon une enquête nationale de 2017, ont exprimé un vif intérêt pour l’alphabétisation en IA de leurs enfants ?

« L’IA, un domaine où les femmes jouent un rôle clé mais souvent sous-représenté. »

L’engagement de Chklovski dans l’éducation à l’IA se traduit par le lancement du premier programme éducatif mondial en IA, le AI Family Challenge, soutenu par Google et Nvidia. Cet effort continu a permis à Technovation de devenir le seul programme éducatif mondial basé sur des projets avec un curriculum basé sur la recherche et traduit en 12 langues. Mais quel impact ces initiatives ont-elles sur les jeunes filles à travers le monde, et quelle fierté Chklovski tire-t-elle de ces réalisations ?

Face aux défis de l’industrie de la technologie dominée par les hommes, Chklovski souligne la difficulté mais aussi l’importance de trouver des alliés et de pousser la société vers une plus grande éducation et empathie. Son conseil aux femmes désirant se lancer dans l’IA ? Commencer dès aujourd’hui grâce aux ressources et cours en ligne gratuits. Mais quelles sont, selon elle, les principales préoccupations concernant l’évolution de l’IA et son impact sur les groupes sous-représentés ?

Chklovski voit dans les groupes sous-représentés des collaborateurs puissants, capables d’innover et de résoudre les problèmes complexes de l’humanité grâce à l’IA. Elle critique la vision réductrice qui ne voit ces pays et ces communautés que comme des marchés ou des consommateurs, et appelle à une conception responsable de l’IA, qui inclut ces groupes dans le processus de création.

En conclusion, pour responsabiliser l’IA, il est crucial de former et d’inclure des groupes habituellement exclus des équipes de conception et d’ingénierie. La collaboration avec des ONG globales peut enrichir la perspective des ingénieurs et conduire à des technologies plus robustes et innovantes. Mais, au-delà des investissements et des collaborations, quelle est la clé pour vraiment pousser les frontières de l’IA de manière responsable et inclusive ?

Source : Techcrunch

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