« La vie c’est ce qui vous arrive quand vous êtes occupé à faire d’autres plans… comme vendre ou acheter TikTok. » Sur le tarmac des négociations internationales, TikTok vogue entre la tempête et l’éclaircie. Bien que l’application ait réapparu sur les magasins d’applications, son futur américain est aussi flou qu’un filtre en mouvement rapide.
ByteDance, la société mère de TikTok, autrefois réticente à vendre son activité américaine, a dû, face à des pressions dignes d’un film hollywoodien, envisager un tel choix. Les dirigeants chinois, autrefois aussi inflexibles qu’une danse TikTok, semblent maintenant ouverts à discuter. Peut-être qu’ils préfèrent la diplomatie à la destruction ?
Donald Trump, en fervent partisan des enchères, rêve de voir TikTok en vente aux enchères, le tout supervisé par l’Oncle Sam. Imaginez une scène digne de Wall Street, où des entreprises comme Oracle et Microsoft jouent des coudes pour s’emparer de la précieuse application. Mais, jusqu’à ce jour, cette danse commerciale reste chaotique et ses partenaires changent aussi souvent que les tendances sur TikTok.
Trump souhaite transformer TikTok en Broadway, mais le rideau tarde à se lever.
Il est donc facile de voir pourquoi certaines sociétés comme Oracle, déjà impliquées jusqu’au cou avec TikTok via le projet Texas, sont motivées à conclure un marché. Pendant ce temps, Microsoft, le géant des logiciels, lorgne aussi l’app, espérant peut-être un jour synchroniser son agenda corporatif avec des vidéos de danse virales.
Non content de rester passif, le monde des start-up ne reste pas en retrait. Des noms comme Perplexity AI, un outsider audacieux, font valoir leurs propositions dans l’espoir de créer une alliance triomphale avec TikTok, manœuvrant la politique américaine avec aussi peu de frayeurs qu’un chat dans une vidéo culte.
Quant à Project Liberty? Une coalition de ténors de l’investissement chapeautée par un Frank McCourt proactif, offrant une version joviale où le data serait détenu par les usagers eux-mêmes. Peut-être une révolution pour l’autonomisation des créateurs de contenus, à condition que le projet voie le jour sans être blockchainé par des codes indéchiffrables !
Et n’oublions pas MrBeast, le célèbre YouTuber, infusant sa touche humoristique en déclarant vouloir lui-même racheter TikTok. Si l’idée prête à sourire, elle révèle néanmoins un intérêt marqué des géants d’Internet pour cette application aussi addictive que la caféine lors d’une longue nuit blanche.
La saga TikTok continue, balancée entre les décisions politiques et les intérêts financiers. Si l’on termine sur une note légère, espérons que TikTok ne subira pas un sort « coupé au montage » : après tout, peu importe qui le possède, les vidéos d’animaux mignons doivent continuer !
Source : Engadget
