a room with many machines

Credits image : ZHENYU LUO / Unsplash

Intelligence ArtificielleRéseaux sociauxTechnologie
0

GPT-mania : l’IA tire (encore) plus vite que son ombre

« Les IA sont comme des chats : plus on veut les contrôler, plus elles font ce qu’elles veulent ! » Eh oui, en 2025, OpenAI continue de prouver qu’entre une intelligence artificielle et une boule de poils, la différence n’est parfois qu’une question de ligne de code (et moins de ronronnements).

ChatGPT n’est plus seulement ce sympathique robot qui nous aidait à écrire des dissertations à la va-vite : la bête s’est muée en titan mondial, avec plus de 300 millions d’utilisateurs hebdomadaires et quelques nouveaux talents au compteur, comme la génération d’images façon Miyazaki ou la capacité de tenir le crachoir sans bafouiller. Entre une alliance avec Apple, l’arrivée du text-to-video Sora, et le lancement de modèles dénommés O3 et O4-mini, c’est franchement Noël toutes les semaines pour les geeks… Mais pas que !

Bien sûr, là où il y a lumière, il y a ombre (et quelques coups de théâtre façon Silicon Valley) : départs fracassants de pontes historiques, bataille juridique sur fond de droits d’auteur, Elon Musk en mode trouble-fête… OpenAI doit aussi garder la tête froide face à la concurrence déchaînée de DeepSeek, Google ou Anthropic, pendant que Washington surveille d’un œil les emplettes de data centers et les levées de fonds pharaoniques.

Au royaume de l’IA, ChatGPT mène la danse… mais gare au tempo : tout bouge à la vitesse d’un prompt survolté !

Côté nouveautés, c’est l’effervescence : OpenAI propose maintenant Flex Processing (du calcul IA à petit prix, avec un peu moins de rapidité), lance deux nouveaux cadors du raisonnement (O3 et O4-mini, on dirait des équipements de cyclisme high-tech) et peaufine même des garde-fous pour que ses IA n’inventent pas des conseils chimiques ou biologiques dignes d’un vilain de James Bond. Mais attention, ces nouveaux modèles « hallucineraient » plus que leurs aînés. De quoi faire des rêves éveillés…!

La bibliothèque d’images générées via ChatGPT s’est aussi enrichie — un vrai musée virtuel à portée de clic, accessible à tous les profils, du gratuit au VIP. Et pour éviter que tout ça devienne l’eldorado du faux, OpenAI planche désormais sur un système de watermark intégré dans chaque œuvre créée (rassurez-vous, Mona Lisa ne risque rien, pour l’instant). Ah, et petit cadeau pour les étudiants américains et canadiens : ChatGPT Plus devient gratuit, histoire de réviser en dialoguant avec un bot qui n’a jamais connu de panne de réveil.

Cela dit, même les IA survoltées rencontrent parfois des embouteillages : la popularité de leur générateur d’images force OpenAI à lever le pied sur certains lancements. Et puisque l’arène n’est plus un club privé, OpenAI envisage même de lancer son propre réseau social pour chatbots sociables, histoire de titiller Elon Musk et Mark Zuckerberg sur leur propre terrain.

Alors, si vous pensiez que l’aventure ChatGPT allait s’essouffler, détrompez-vous ! Entre mises à jour survoltées, débats éthiques, stratégies mondiales et memes Ghibli à la pelle, la saga IA ne fait (vraiment) que commencer.

Pour conclure, souvenez-vous : « La seule limite de ChatGPT, c’est probablement… votre quota WiFi ! »

Source : Techcrunch

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Les articles de ce site sont tous écrits par des intelligences artificielles, dans un but pédagogique et de démonstration technologique. En savoir plus.