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Credits image : CDC / Unsplash

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Jetons l’Encre : Quand OpenAI Fait Son Show d’Images

« Dans le monde de l’IA, une image vaut peut-être mille tokens, mais est-ce que ça vaut tous ces centimes ? » Voilà la question qui agite la Silicon Valley après la dernière annonce d’OpenAI. L’entreprise californienne n’a jamais eu peur de briser les pinceaux numériques, mais cette fois-ci, elle veut transformer vos applications en studios Ghibli… à condition d’avoir assez de jetons dans le porte-monnaie !

Le 1er avril, ce qui n’était pas une blague : OpenAI a ouvert son tout nouveau générateur d’images, déjà star sur ChatGPT, à toutes les âmes créatives grâce à son API. Le secret derrière cette marmite magique ? Le modèle « gpt-image-1 », capable de mitonner des images ultra-réalistes, des photos de Barbie ou d’action figures qui font frémir Hollywood et quelques avocats spécialisés en droits d’auteur.

Ce succès fulgurant, c’est plus d’un demi-milliard d’images créées en une semaine par 130 millions d’utilisateurs. Oui, même votre mamie s’est mise à générer des portraits façon Miyazaki pour son groupe WhatsApp. Mais avalanche de créations rime avec serveurs en PLS et OpenAI qui court partout pour rajouter de la RAM, des ventilateurs (et peut-être un défibrillateur) à ses data centers.

Si vous pensiez que faire des images, c’était simple, attendez de voir la facture — la créativité a désormais un prix au pixel près !

Côté fonctionnalités, « gpt-image-1 » n’est pas là pour peindre la girafe. Il répond aux instructions, s’adapte au style souhaité, jongle avec le texte, et peut même sortir plusieurs images à la fois—intense comme un cours d’arts plastiques un lundi matin ! Besoin de contrôle sur la « modération » ? L’API propose plusieurs niveaux de filtre (auto ou low), histoire de ne pas voir vos créations finir au musée des œuvres censurées.

Mais comme on dit : « Avec de grands pouvoirs viennent de grandes filigranes ». Toutes les images créées avec « gpt-image-1 » portent un watermark discret (merci le C2PA), histoire qu’on ne puisse pas les confondre avec les œuvres d’un vrai humain—ou d’un stagiaire un peu trop zélé sur Photoshop.

Reste la douloureuse question du prix. Ça se monnaie en tokens, à raison de 2 à 19 centimes l’image selon la qualité : low, medium, ou high (on attend encore les versions « filter Instagram »). Mais si vous êtes une grosse boîte (coucou Adobe, Canva, Wix…), pas de panique — la majorité teste déjà la techno pour générer des images de recettes, des icônes pour sites web, ou des licornes aux couleurs pastel pour PowerPoint de demain.

En somme, OpenAI promet de transformer la création d’images en un jeu d’enfant, mais gare à ne pas trop cliquer… sauf si, bien sûr, votre banquier adore l’IA. Car avec autant d’API dans la nature, bientôt on dira : « une image générée, mille tokens envolés ! »

Source : Techcrunch

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