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Credits image : Maxim Tolchinskiy / Unsplash

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Anysphère de croissance : la Startup qui code les zéros (et les millions) !

« On dit que l’argent ne code pas le bonheur, mais à ce rythme-là, il pourrait bien compiler un yacht. »

La startup Anysphere, créatrice du fameux assistant de codage dopé à l’IA baptisé Cursor, vient de lever 900 millions de dollars et s’offre une valorisation qui donne le vertige : 9,9 milliards de dollars, rien que ça ! Selon Bloomberg, Thrive Capital a mené la danse des investisseurs, bientôt rejoint par Andreessen Horowitz, Accel et DST Global. Même la pelouse de la Silicon Valley a eu du mal à rester verte devant tant de billets alignés.

Petit rappel : Anysphere n’est qu’une gamine de 3 ans dans la cour des géants ! L’entreprise avait déjà chopé 100 millions de dollars il y a quelques mois, à une époque où son badge affichait une valorisation de « seulement » 2,5 milliards. Oui, en 2024, 2,5 milliards, c’est de la petite monnaie pour les codeurs.

Les « vibe coders » comme on les surnomme en coulisses (car “assistant de codage IA” c’est trop ennuyeux), sont devenus le nouveau jouet favori du monde tech. Cursor caracole en tête : son chiffre d’affaires annuel explose littéralement. On parle de 500 millions de dollars de revenus récurrents et, si l’on en croit des sources proches du dossier, la méridienne de la croissance est aussi inclinée qu’un bug critique un vendredi soir.

Anysphere compile les zéros des investisseurs aussi vite que ses lignes de code pour les développeurs.

Côté tarif, Cursor joue la carte Netflix du code avec un essai gratuit de deux semaines. Après, il faut sortir la carte bleue : 20 dollars par mois pour les solo-cowboys du clavier, ou 40 dollars pour ceux qui veulent la jouer en mode « corporate ». Avec la nouvelle offre entreprise, les sociétés peuvent même offrir Cursor à toute leur escouade de développeurs (et à prix d’or, évidemment).

Longtemps, la manne de Cursor venait des développeurs individuels, ces solitaires qui codent la nuit à la lueur de leur écran. Mais désormais, c’est la ruée vers l’or en entreprise : Anysphere propose des licences de groupe, histoire de réconcilier performance et rentabilité tout en gonflant les compteurs.

Le succès donne des idées et des prétendants : OpenAI a tenté la drague (et sans doute glissé un DM bien musclé), mais Anysphere a préféré jouer la difficile. Résultat : la maison-mère de ChatGPT s’est rabattue sur Windsurf, une autre étoile montante de la galaxie IA, lâchant au passage 3 milliards pour conclure l’affaire. Comme quoi, chez les IA, il faut parfois savoir lire entre les lignes… de code et de contrats.

Entre levées stratosphériques et rumeurs de rachats, la seule chose qu’Anysphere n’a pas l’air de vouloir automatiser, c’est le suspense. Bref, le monde de l’IA, c’est comme un bon debugger : il réserve toujours quelques surprises bien cachées dans la boucle !

Source : Techcrunch

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