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Credits image : Ali Shah Lakhani / Unsplash

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Alexa+, l’assistante qui fait plus que parler… elle cause du cash !

« Dis Siri, qui commande entre toi et Alexa ? — Je laisse volontiers la parole à celle qui s’y connaît en achats impulsifs ! »

Le géant de la tech a sorti le grand jeu avec Alexa+, bien conscient que sa première version d’assistant vocal s’essoufflait à force de calculer le temps qu’il fait en boucle (il fait toujours moche chez moi, Alexa, tu sauras). Désormais boostée par une IA générative façon « super cerveau », Alexa+ se répand chez plus d’un million d’heureux élus — mais uniquement sur invitation, histoire de titiller la curiosité de ses fans et rappeler la hype d’une boîte de night select.

En mode Early Access, Alexa+ est dispo gratos pour ces testeurs VIP — version Prime offerte plus tard, mais, pour les autres, ce sera 19,99 $ par mois. C’est toujours moins cher qu’un psy, à condition de ne pas se confier à Alexa sur votre enfance… Quant à la « vague d’invités », Amazon la gère avec la ponctualité d’un train SNCF plutôt qu’un drone Prime : il y a eu 100 000 testeurs fin mai et, quelques semaines plus tard, boom, on passe le million. Un vrai effet domino, mais à l’envers (ou presque) face aux 600 millions d’appareils Alexa déjà vendus !

Alexa+ est la tentative sérieuse d’Amazon de rendre son assistant plus intelligent que notre oncle qui pense tout savoir.

Mais, attention, ne crions pas au génie trop vite. Amazon espère enfin faire d’Alexa une machine à cash, là où la première version restait un gadget sympa pour allumer les lumières et jouer vos plus grands tubes de Céline Dion. Avec la percée de ChatGPT et compagnie, Alexa s’était fait voler la vedette, reléguée au rang de tonton gênant aux repas de famille. Alexa+ voudrait donc piquer la place du cousin futé : plus naturelle, elle retient vos préférences (vos péchés mignons culinaires inclus), vous raconte vos mails façon résumé express, crée histoires ou quiz à la volée, et peut même jouer à l’assistante perso pour réserver un resto ou acheter des billets en toute autonomie.

De plus, cette Alexa 2.0 intègre une ribambelle de partenaires pour vraiment gérer votre vie : OpenTable pour vos dîners, Ticketmaster pour vos concerts, Uber Eats pour vos fringales de minuit… Reste à voir si elle vous trouvera une table pour le 14 février soir (spoiler : non). Néanmoins, son déploiement ne se fait pas à la va-vite : pour l’instant, elle squatte quelques appareils Echo Show, mais bientôt, toute la famille Echo et Fire TV pourront également goûter à son intelligence (ou se heurter à ses bugs).

Cela dit, et c’est tout le sel de notre époque bêta, les retours sur Alexa+ sont aussi tranchés que ceux sur la cuisson du steak : certains trouvent l’IA bluffante et plus futée que Siri, d’autres pointent déjà ses angles morts et sa propension à bafouiller quand on l’éloigne du script. D’autant qu’elle n’est pas encore totalement lancée… même si Amazon assure que presque toutes les fonctionnalités annoncées ont été livrées. Patience donc, Rome ne s’est pas faite en un jour (et Alexa ne réinvente pas la lumière du salon en un seul prompt).

En attendant la sortie officielle, profitons de la regarder grandir — et gardons à l’esprit qu’avec Amazon, même l’assistant vocal peut se retrouver dans le panier… sans garantie satisfait ou remboursé. Après tout, Alexa+ a beau viser le ciel de l’IA, elle aura sans doute aussi ses bugs à digérer : alors, croisons les doigts (ou les enceintes), et surtout, gardons le sens de l’humour… car on ne voudrait pas qu’Alexa ajoute « prise de tête » à la liste de courses !

Source : Techcrunch

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