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Credits image : Bernd 📷 Dittrich / Unsplash

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Les technologies génératives annoncent-elles la fin de l’ingéniosité humaine?

Comment l’intelligence artificielle transforme-t-elle nos vies professionnelles et modifie-t-elle la sécurité de l’emploi? L’intelligence artificielle, notamment celle dite générative, est devenue extrêmement… médiocre? Cette constatation peut prêter à sourire, mais si l’on y réfléchit bien, n’est-ce pas précisément l’objectif poursuivi par ces technologies: fournir un échantillon représentatif, issu de la somme des connaissances humaines et par conséquent, teinté de cette médiocrité ambiante?

Doit-on alors s’inquiéter que des outils comme ChatGPT puissent se substituer à l’humain dans des tâches où la qualité d’écriture prime, ou ce phénomène signe-t-il plutôt l’augure d’un progrès pour les travailleurs moins habiles avec les mots? Et dans ce contexte mouvant, les blancs-cols sont-ils menacés, à mesure que leur travail sera facilité, et parfois même remplacé, par l’intelligence artificielle?

La startup sphere bouillonne d’initiatives innovantes, mais ne risque-t-elle pas d’être bousculée par la facilité avec laquelle les modèles basés sur l’IA, comme ceux proposés dans la GPT Store d’OpenAI, pourront remplir des fonctions jusqu’alors seul domaine des humains? Avec cette évolution, les créateurs d’entreprises technologiques bâtissent-ils sur du sable en dépendant fortement des API des géants du web, flirtant ainsi avec le danger?

L’essor de l’IA remanie avec force les cartes professionnelles. Qu’en est-il de la pérennité des start-ups et de l’ingéniosité humaine?

La tech n’est pas le seul secteur concerné. Des géants comme Apple se tournent autant vers l’IA, Tim Cook soulignant son caractère fondamental. Mais, en-dehors des cercles d’initiés, quelle nature exacte prend cet engagement envers l’IA générative?

Quand les services changent de visage, comme avec Twitter proposant un accès à Grok, une nouvelle IA, l’état actuel de l’industrie est-il sur le point de subir des remous profonds? AWS, de son côté, propose la location de GPUs Nvidia pour des tâches IA. Cette accessibilité renforcée est-elle synonyme de démocratisation ou annonce-t-elle la monopolisation d’un marché déjà restreint?

Parallèlement, les mêmes vents qui gonflent les voiles de l’IA sont-ils capables d’éventrer les navires des startups financées par le capital risque? La déroute du WeWork, autrefois fleuron de l’innovation, offre-t-elle un contrepoint sombre à l’éclatante réussite de nouvelles entreprises survalorisées ou nous enseigne-t-elle quelque leçon cruciale sur les cycles économiques et d’innovation?

Sam Bankman-Fried, avec la chute retentissante de FTX et Alameda Research, n’est-il pas le symbole d’une correction nécessaire dans un marché à la fois jeune, fougueux et imprudent? Quand la cupidité et l’innovation tissent une trame complexe et volatile, la justice n’est-elle pas le dernier rempart contre les dérives, ou cette affaire ne démontre-t-elle que le sommet de l’iceberg?

En somme, qu’on plébiscite ou non l’IA et la blockchain, ces technologies façonnent notre époque, nos entreprises, et tout l’écosystème entrepreneurial. Mais dans cette lutte incessante pour l’innovation et la domination marchétaire, ne perd-on pas de vue l’essentiel, à savoir l’impact humain et la valeur ajoutée de l’ingéniosité individuelle?

Source : Techcrunch

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