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Credits image : Peter Rovder / Unsplash

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Californie vs Géants du Web: Le Far-West Législatif des Temps Connectés

« Roulette russe numérique : quand tes enfants tirent plus vite sur l’écran que leur ombre! » Imaginez un monde où chaque défilement sur Instagram est aussi addictif que le chocolat un soir de déprime. Eh bien, sacrebleu, voilà que la Californie, ce far-west de l’innovation, a dégainé deux projets de loi pour tenir en laisse ces hors-la-loi du numérique.

Avec SB 976, imaginez que vous, parents, deveniez les shérifs en herbe capables de désarmer les redoutables algorithmes de dépendance qui sévissent dans les smartphones de vos chérubins! Vous pourriez choisir de remplacer le fil d’actualité algorithmique – plus accrocheur qu’une série Netflix – par un fil chronologique, moins habit-formant que votre canapé favori. Cerise sur le gâteau, bloquer les notifications des réseaux sociaux et interdire à ces petits diables d’utiliser leurs plateformes préférées pendant les heures nocturnes et scolaires.

« Adicted, vous dites? California to the rescue! »

La sénatrice Nancy Skinner, justicière des temps modernes, a tiré la sonnette d’alarme: « Les entreprises de médias sociaux ont concocté leurs plateformes pour y rendre accros nos jeunes! » dit-elle, pointant du doigt ces vilains qui font grimper les taux de dépression et d’anxiété chez les ados comme les températures en été.

Quant à AB 1949, c’est le Robin des Bois de la protection des données, volant au secours des bambins californiens de moins de 18 ans. Ce projet de loi affûte les armes de la transparence, permettant aux consommateurs d’exiger des comptes sur le trafic de données personnelles de leurs enfants et de dire « non! » à la vente de ces infos à des tierces parties sans un « consentement éclairé » – signé par papa-maman pour les moins de 13 ans.

Ce n’est pas tout: ce bolide législatif compte bien combler les échappatoires du California Consumer Privacy Act (CCPA) qui, jusqu’à présent, laissait les données des pauvres adolescents de 17 ans aussi exposées qu’un geek sans Wi-Fi. Avec AB 1949, on passe la seconde et on protège ces jeunes padawans comme des bébés pandas en voie d’extinction.

Pour pimenter le tout, ces projets de loi se pointent juste à temps pour un rendez-vous galant avec une audience du Sénat US et cinq P.-D.G. de la Big Tech. Ces joutes verbales risquent d’être aussi crues que les punchlines d’un battle de rap. Pendant ce temps-là, la Californie, avec son esprit d’équipe de 41 États, a déjà engagé une bataille juridique contre Meta pour avoir joué avec la santé mentale de nos rejetons. Et oui, chez Meta, on les a vu comme un « public précieux mais sous-exploité » – un peu comme les chaussettes orphelines à qui on ne donne pas assez d’amour.

Source : Engadget

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