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Credits image : Julio Lopez / Unsplash

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Threads peut-il réellement créer un espace positif?

Peut-on réellement contrôler ce qui se partage sur nos réseaux sociaux? Threads semble penser que oui, en offrant désormais à ses utilisateurs davantage de contrôle sur qui peut citer leurs publications, c’est-à-dire les republier avec des commentaires. Mais comment cette nouvelle fonctionnalité façonne-t-elle l’interaction entre les utilisateurs et contribue-t-elle à créer un espace plus positif, comme l’espère Adam Mosseri, le chef d’Instagram?

Avec plus de 150 millions d’utilisateurs mensuels, Threads s’impose progressivement comme une plateforme influente, intégrant de nouvelles fonctionnalités pour améliorer la sécurité et l’expérience utilisateur, tout en empruntant certains outils à Instagram. Est-ce que l’introduction du filtrage de termes avec la fonctionnalité « Mots cachés » et les récentes options d’archivage de publications sont des indicateurs d’un virage plus sécuritaire et personnalisable sur les réseaux sociaux?

Threads renforce le contrôle utilisateur sur les citations de publications, visant un espace virtuel plus positif.

La décision de permettre aux utilisateurs de choisir qui peut citer leurs posts, que ce soit uniquement les personnes qu’ils suivent ou personne du tout, pose une question intéressante sur la balance entre la liberté d’expression et le besoin de sécurité en ligne. En limitant qui peut interagir avec leurs contenus, les utilisateurs de Threads peuvent-ils vraiment façonner un environnement plus positif, ou est-ce simplement un pas de plus vers une chambre d’écho personnalisée?

Adam Mosseri souligne que cette mise à jour a été testée parmi un groupe d’utilisateurs de Threads le mois dernier, avant d’être déployée pour tous. Comment ce groupe a-t-il réagi à cette nouveauté, et quel impact cela a-t-il eu sur la dynamique de la plateforme? Cette démarche de Threads est-elle l’annonce d’une nouvelle ère où l’utilisateur aura finalement un mot à dire sur la manière dont ses données et ses interactions sont gérées sur les réseaux sociaux?

En conclusion, Threads semble naviguer dans les eaux parfois troubles de la gestion communautaire en ligne, cherchant un équilibre entre le contrôle utilisateur et une expérience partagée enrichissante. La question de savoir si ces efforts contribueront réellement à créer un environnement en ligne où sécurité rime avec liberté d’expression reste ouverte. En fin de compte, le nouvel arsenal de fonctionnalités de Threads sera-t-il suffisant pour façonner l’utopie numérique tant espérée par ses utilisateurs et par Adam Mosseri?

Source : Engadget

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