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Mode « Laam-zing »! Les Sari-pour tout le monde!

« La mode, c’est de se démoder». Coco Chanel avait peut-être raison, mais aujourd’hui, les vibrations mode de l’Asie du Sud prennent d’assaut le globe avec la même ferveur qu’un gang de motards en tissu floral. Le monde veut revêtir des saris aux couleurs flamboyantes et des kurta aux motifs envoûtants pour danser en son âme des dhols, surtout lorsque la diaspora sud-asiatique se multiplie comme du khichdi en ébullition.

Il est incroyable de penser qu’avec tant de couleurs à revendre, les plateformes en ligne peinent toujours à offrir un choix substantiel provenant des recoins vibrants du sud de l’Inde. Hormis celles orientées vers des niches bien précises – un âge ou un genre – il semblerait que les options disponibles soient aussi nombreuses que des jerricans dans un défilé de haute couture. Mais tout cela pourrait être remis en cause grâce à un certain Arif Iqbal et son marché en ligne basé à Lahore, Laam. Fraîchement financé à hauteur de 5,5 millions de dollars, ils prévoient de bouleverser le secteur avec toute la grâce d’un poète digital fougueux.

De Microsoft à Pinterest, et même lors de ses pauses déjeuner dans les cantines de Meta, Iqbal n’a cessé de rêver à la popularisation de la mode indo-pakistanaise. Pourquoi ? Parce que les samossas, le cricket et les doux rêveurs de la couture n’auraient pas dû se limiter à l’Ouest américain. Suite à son retour en terre pakistanaise post-Covid, Iqbal s’est lancé dans l’aventure Laam, rassemblant autour de lui des talents, dont son frère Amir et une certaine Sahar Arif, afin d’orchestrer une symphonie stylistique sur la toile.

Faire d’une coutume une tendance globale ne nécessite que quelques clics et beaucoup d’audace.

Détenant pas moins de 100 000 articles, Laam rivalise avec un magasin de douceurs en pleine effervescence pendant Eid. On y trouve de tout : du casual à l’ethnic en passant par le formel, pour femmes, hommes et enfants. Mais ce n’est pas qu’un simple défilé de mode. Grâce à l’intelligence de la machine, chaque visiteur visualise, sur ces rayons virtuels, des choix défiant l’imagination, comme si un majordome numérique prédisait vos moindres besoins.

Iqbal ne s’arrête pas là. Avec une potion logistique en flacon, Laam assure aux vendeurs des outils plus actifs qu’un rouet dans les mains de Rumpelstiltskin. Barcodes, entrepôts, et envolée d’express, rien n’est laissé au hasard. Les instructions pour personnaliser une robe formelle sont aussi précises que la recette secrète du chai de Gigi.

Même dans un monde où les plateformes surgissent aussi simplement que les selfies, Laam se distingue par son approche unique de vendre des produits au gré de diverses marques. Fort de son financement, la startup s’avance pour conquérir la carte mondiale, avec des projets d’installation en Émirats et pourquoi pas un futur bureau américain, marquant la prochaine étape d’un voyage aussi grand que la conquête d’une nouvelle route des épices.

En ces temps où le capital-risque hésite à franchir les frontières pakistanaises aussi facilement qu’un shalwar bien ajusté, Laam parie sur ses valeurs et ses idées pour transformer ce qui fut autrefois familial en une épopée mondiale. Et tandis que l’écosystème des startups pakistanaises rencontre des baisses de financement, Laam danse sur la corde raide avec agilité.

Gardez toujours à l’esprit : avec Laam, les surprises peuvent se cacher dans un bouton, mais les goûts se construisent en un clic. Voilà comment on tisse la toile du succès.

Source : Techcrunch

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