« L’argent ne fait pas le bonheur, mais il rend les innovations fintech beaucoup plus intéressantes ! » Si vous n’avez jamais entendu parler de Upvest, ce n’est pas surprenant. Pourtant, cette startup berlinoise fondée par Martin Kassing fait déjà parler d’elle en silence. En effet, leurs services sont utilisés par des géants européens de la fintech tels que Bunq, N26, et Revolut, touchant pas moins de 50 millions de personnes. Quelque part, vous avez probablement déjà utilisé leurs produits sans même le savoir. Comme un DJ de l’investissement boursier sortant le dernier son à la mode, Upvest est en pleine ascension.
Et pour continuer sur cette lancée, Upvest vient d’annoncer une ronde de financement série C de 100 millions d’euros, menée par le discret fonds d’investissement Hedosophia et quelques autres pointures du secteur comme Sapphire Ventures, Bessemer Venture Partners et BlackRock. Pourtant, ce qui fait le buzz, c’est la valorisation de l’entreprise qui serait « considérablement plus élevée » que lors de leur précédente série B. Plus mystérieux qu’une intrigue de film policier, Upvest garde secret ce montant mirobolant, nous laissant à notre propre enquête spéculative.
Les chiffres du commerce traduisent un avenir radieux pour Upvest, prêt à croître de manière exponentielle avec de nouvelles révolutions financières.
Le succès repose sur l’API d’Upvest, qui permet à ses utilisateurs de s’aventurer dans l’achat fractionné d’actions et d’autres produits financiers. Mais leurs ambitions ne s’arrêtent pas là : crypto-monnaies, dérivés, ELTIFs et obligations multinationales sont sur le plan de vol. Si Upvest continue sur cette lancée, même Wall Street risque de se pencher sur leur cas pour glaner des astuces !
Pour 2024, la startup table sur une croissance exponentielle avec le traitement récent d’un million de transactions par semaine. Avec la récente autorisation de la Financial Conduct Authority pour opérer au Royaume-Uni, elle égraine son influence à travers l’Europe comme une tempête séduisant nouveaux clients et opportunités. Pourtant, elle garde à l’œil les spécificités locales, comme le Plan d’Épargne en Actions (PEA) en France, un système poussant les citoyens à investir sur le long terme.
Avec cette série C, Upvest entend sécuriser davantage de licences et de partenariats tout en renforçant son réseau. Leurs concurrents doivent maintenant passer la première, surtout face à des alternatives comme Bitpanda qui lorgne également sur le domaine des plateformes d’investissement à étiquette blanche. Pourtant, Upvest sort l’argument massue : les particularités géographiques et la complexité accrue pourraient bien dresser de solides barrières à quiconque souhaite entrer sur ce ring.
Alors que la course à l’innovation ne montre aucun signe de ralentissement, Upvest se prépare déjà à accueillir ses prochains 50 millions de clients. Avec une technologie robuste et un portefeuille bien dodu, ils ont certaines belles années devant eux. Comme on dit dans le milieu : « Investi à donf’, Upvest dans l’fond !»
Source : Techcrunch