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Credits image : Igor Omilaev / Unsplash

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L’IA, une arme de déconnexion massive?

« L’intelligence artificielle, c’est comme un couteau à deux tranchants : elle peut cuisiner un bon repas ou vous couper les doigts. » C’est sans douter que l’intelligence artificielle continue d’attiser le débat sur son utilisation dans le domaine militaire. Andrew Ng, un ancien de chez Google Brain, s’est récemment réjoui de la décision de Google de revenir sur son engagement de ne pas développer d’IA à des fins militaires.

Auparavant, Google, bercé par ses principes, avait déclaré qu’il ne s’embarquerait pas dans des projets d’IA à des fins d’armement. Ce pacte est désormais aussi disparu que vos chaussettes après une lessive! Mais pourquoi ce retournement de situation? Andrew Ng soutient cette stratégie, arguant que l’IA pourrait renforcer la sécurité nationale. D’après lui, comment une entreprise américaine pourrait-elle ne pas soutenir ses soldats? Une question laissée en suspens lors de sa discussion en direct avec TechCrunch.

Pour rappel, le géant de la Silicon Valley avait fait volte-face sous la pression interne en 2018 après les manifestations du personnel contre le projet Maven, destiné à interpréter les images vidéo pour améliorer la précision des frappes drones. A croire que l’IA ne divisait pas uniquement leurs serveurs mais aussi leurs effectifs!

L’adieu à cette promesse semble aligner de nouvelles stratégies en matière de défense et d’innovation technologique.

Ng, toujours investi dans l’univers de l’IA, souligne que des législations trop strictes pourraient freiner le développement open source dans le pays de l’Oncle Sam. La course aux drones AI est un enjeu crucial dans la rivalité technologique avec la Chine. D’ailleurs, Eric Schmidt, ancien PDG de Google, n’hésite pas à convaincre Washington d’investir dans ces drones. Reste à voir s’ils voleraient plus haut que les tensions diplomatiques actuelles!

A contrario, d’autres voix chez Google s’élèvent contre l’utilisation militaire de l’IA. Meredith Whittaker, autrefois à la barre du projet Maven, et maintenant chez Signal, se réjouissait de voir Google renoncer à ces contrats militaires, pensant qu’une entreprise ne devrait pas s’engager dans les affaires de guerre.

Il y a même Geoffrey Hinton et Jeff Dean qui, bien qu’ayant été parmi les pionniers de l’IA chez Google, prônent une réglementation plus stricte sur ce genre d’armement autonome. Ce qui montre que dans cet océan numérique, les opinions peuvent être aussi divisées que les canaux de communication Google Chat!

Avec une demande mondiale croissante de la part des militaires, les géants comme Google, Amazon et Microsoft cherchent à rentabiliser leurs investissements colossaux en IA. Mais au final, la question reste ouverte : ces technologies feront-elles de nous les maîtres de l’univers ou simplement les acteurs d’un énième reboot de Star Wars?

Rappelez-vous, l’IA dans la guerre, ce n’est pas tout blanc ou tout noir; c’est juste une affaire de code gris. Comme le disait mon chat robotique : « Pourquoi faire la guerre alors qu’on peut jouer? »

Source : Techcrunch

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