« Il ne suffit pas d’avoir du talent. Il faut encore savoir s’en servir. » disait Alphonse Daudet. Et dans le monde des technologies, ce n’est pas diffèrent. Que dirait-on d’une entreprise qui fait machine arrière sur ses promesses ou d’un magnat qui met les données gouvernementales en péril ? Bienvenue à l’édition où les nouvelles s’en mêlent et s’emmêlent, tel un spaghetti bien cuit.
Commençons avec le tandem improbable : Elon Musk et le DOGEcoin. Ces deux-là, habitués des manchettes, ont réussi à pénétrer les arcanes du ministère des Finances américain. Oui, lecteur avisé, tu as bien lu. Musk et son acolyte canin comique possèdent désormais un accès complet au système de paiements du Trésor américain. De quoi faire frémir les sénateurs, à commencer par Ron Wyden, qui évoque un risque pour la sécurité nationale. Ce fougueux entrepreneur semble jouer au Monopoly avec les banques fédérales, poussant des représentants politiques comme Mark Pocan à proposer des lois qui sonnent comme des brochures touristiques : Eliminate Looting of Our Nation by Mitigating Unethical State Kleptocracy. On se croirait dans une série Netflix.
Et ce n’est pas tout. Il semble que Meta soit encore dans l’œil du cyclone, son ancien employé Kelly Stonelake ayant porté plainte pour des faits de harcèlement sexuel et de discrimination. Un classique du genre, non ? Mais dans cette histoire, le sexe fort semble surtout être celui qui rate les promotions. On attend de voir quel épisode judiciaire dévoilera ces nouvelles joutes corporatives.
Dans le monde de la tech, les apparences sont aussi fiables qu’un pixel mort.
Quant à Google, voilà qu’il retire discrètement son engagement à ne pas utiliser l’IA à des fins militaires ou surveillantes. Non, vous ne rêvez pas. Ce géant du web, maintenant discret comme une souris dans un compte-rendu d’AG, a effacé de son site la section des applications à « ne pas poursuivre ». Allez savoir si c’est la sécurité nationale ou la paranoïa mondiale qui motive ce virage. Google voudrait travailler avec les gouvernements sur une IA responsable, une phrase qui sonne exactement comme « Pourquoi pas un robot soldat ? Il pourrait même saluer de la main ! ».
Pour certains, le monde de demain semble sortir des pages de science-fiction. Cher lecteur, naviguez prudemment, car entre les mots audacieux d’Elon, les procès de Meta et les IA de Google, la vérité digitale est parfois plus versatile qu’un fichier Excel un lundi matin.
« Que de nouveaux rebondissements chez nos amis de la tech ! Vivement la suite » dirait quelqu’un resté scotché aux aventures de son feuilleton préféré. Dans cet univers où tout devient possible, restez curieux et gardez un œil ouvert… même si c’est seulement pour éviter les spams.
En guise de conclusion, souvenons-nous : à l’ère du numérique, ce n’est pas toujours la pause café qui réveille, mais parfois, c’est bien une ligne de code qui nous caféine la journée !
Source : Techcrunch