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Credits image : Maxim Tolchinskiy / Unsplash

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L’OpenAIra bien qui OpenAItira

« Quand la vie vous donne des bots, faites-en de la limonAId ! » Si vous pensiez que ChatGPT de chez OpenAI était juste cet assistant qui vous proposait des recettes d’omelette et corrigeait vos emails, détrompez-vous : il s’est transformé en véritable star planétaire, surfant sur une vague tech vertigineuse avec 300 millions d’utilisateurs hebdomadaires – une performance digne d’un champion olympique, version intelligence artificielle !

Depuis l’annonce de son mariage arrangé avec Apple pour l’intégration d’Apple Intelligence dans ses appareils (Siri a enfin trouvé un copain), jusqu’à la naissance de Sora, son bébé qui change le texte en vidéo, 2024 fut pour OpenAI une année pleine de rebondissements et d’innovations. On retiendra aussi l’apparition du modèle GPT-4o, qui sait maintenant parler, presque comme votre tonton lors des repas de famille… mais avec moins d’avis douteux.

Mais derrière le rideau, tout n’était pas rose : OpenAI a vécu son lot de drames. Des départs de figures-clés – coucou Ilya Sutskever et Mira Murati – aux batailles juridiques dignes de séries Netflix (on salue Elon Musk au passage), et des plaintes pour violation de droit d’auteur. Comme quoi, même chez les robots, le drama n’est jamais loin ! OpenAI doit aussi composer avec des concurrents chinois du calibre de DeepSeek, tout en tentant de garder ses relations diplomatiques intactes à Washington et de construire le data center le plus bling-bling de l’histoire, en mode projets à plusieurs milliards.

La vie d’OpenAI prouve que pour briller dans la tech, il faut savoir manier le code, l’égo, et un bon avocat.

En avril 2025, OpenAI a annoncé vouloir ajuster ses règles de sécurité si des rivaux osaient sortir des IA « à haut risque » sans garde-fous. On dirait presque une scène de duel dans un western, mais avec des chatbots au lieu des colts. La société s’apprête même à concurrencer Elon Musk et Zuckerberg sur le terrain social en développant son propre réseau à la sauce ChatGPT — on ignore encore si la modération sera aussi futée qu’un chaton sur TikTok.

Les mises à jour tombent plus vite que votre connexion WiFi un jour d’orage : suppression du modèle GPT-4.5 de l’API, lancement de la famille GPT-4.1 spécialisée dans le code (pour rivaliser avec Gemini ou Claude d’Anthropic), nouvelles fonctions de personnalisation des conversations, watermarking d’images générées pour éviter les fake-news arty… Sans oublier la gratuité temporaire de ChatGPT Plus pour les étudiants américains et canadiens. OpenAI chouchoute la Gen Z, en espérant sûrement qu’elle fera ses devoirs avec style.

Sous le capot, la machine chauffe : le modèle o3, censé révolutionner le raisonnement, s’avère ruineux à utiliser (30 000 dollars le problème… ça pique), tandis que la hype autour de la génération d’images atteint des sommets – 700 millions d’images crées sur ChatGPT, momiji et Totoro n’ont qu’à bien se tenir. Mais le succès multiplie aussi les retards produits : même Sam Altman, le boss, prévient qu’il faut patienter, la bande passante n’étant pas extensible comme le melon d’un fondateur de startup.

Au final, OpenAI avance à fond mais doit jongler entre ses ambitions stellaire, ses soucis de gouvernance, des rivaux agressifs, et des questions éthiques toujours plus ardues sur la création et la propriété intellectuelle. Bref, être leader de l’IA, c’est comme être en haut de la montagne russe : c’est grisant, mais pas sans loopings ni surprises… ni poursuites judiciaires.

Et pour finir sur une note légère, disons que chez OpenAI, la vraie question n’est plus « faut-il avoir la fibre ? » mais « faut-il avoir la fibre morale ? » — car l’IA, ça se tisse aussi avec des dilemmes humains !

Source : Techcrunch

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